« ANGÈLE, C’EST UNE CHANTAL GOYA QUI SURPLOMBE LES MECS AVEC UN CULOT DINGUE » JEAN-LOUIS MURAT
Paris Match. A l’écoute de “Baby Love”, on se demande comment tu vas. Ça te fait du bien d’exorciser ce que tu vis dans tes chansons ?
Jean-Louis Murat. C’est un disque qui a été fait pendant une rupture, que j’ai terminé le matin du jugement de divorce au tribunal. Il couvre toute la période de “Bon, bah on divorce” à “Merci monsieur le juge”. Mais j’ai toujours fait ça. La créativité, d’une façon traditionnelle, consiste à transformer sa petite vie en œuvre. D’autant que je ne suis pas un néophyte en rupture…
Mais tu parles de guerre à propos de cette rupture.
Ah oui, ce n’est pas facile. Pour dealer la paix, il faut savoir dealer la guerre aussi. Mais j’ai choisi, musicalement, d’aller vers les formes que j’aimais ado, la soul, le funk, le blues, je ne voulais
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