CARLA BRUNI L’EXCESSIVE
Elle n’a rien lâché. Surtout pas la défense de son dernier disque, sobrement nommé « Carla Bruni», qui comme beaucoup a été fauché par une pandémie qui s’étire. La tournée prévue a été dézinguée par les reports et les restrictions. Mais, dès qu’elle peut retrouver la scène, Carla fonce. Deux semaines avant sa date parisienne, elle nous reçoit à domicile. Occupée par mille choses, les devoirs d’anglais de sa fille, le dîner pour son aîné, Aurélien, de passage à Paris alors qu’il étudie à New York. Ou les affaires judiciaires de son époux, Nicolas Sarkozy, retiré de la vie politique mais fidèle chevalier servant. Carla vit dans un monde doux où l’on rigole pas mal. Quand il s’agit d’affronter en public les crises et les drames, elle sait encore sortir les griffes. Cela lui inspire des chansons, elle qui ne peut guère cacher ses tourments et ses contrariétés. Ça lui permet surtout de vivre avec le cœur qui bat sans cesse la chamade. Et c’est ce qui la rend toujours aussi attachante.
Paris Mach. Depuis le début de la pandémie, les tournées ont été reportées ou annulées. C’est compliqué de faire votre métier aujourd’hui ?
Oui et je ne le vis pas très bien. Mais on est tellement tous dans le même bateau que je vois comme une chance ces trois
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