La pornodivulgation reste peu sanctionnée par les tribunaux
Feb 16, 2020
2 minutes
JULIETTE DEMEY
Un amoureux éconduit, un camarade qui veut se faire mousser… et vous voilà jeté en pâture sur Snapchat, Instagram ou TikTok. En janvier 2018, une cinquantaine d’élèves strasbourgeoises de 13 à 16 ans ont ainsi vu des photos intimes, assorties de leurs coordonnées et d’appels à les insulter, relayées de manière virale via Snapchat.
Avec l’expansion des réseaux sociaux et des ou « vengeance pornographique », s’étend en France. Cette forme de cyberharcèlement consiste à diffuser des paroles ou des images sexuellement explicites sans l’accord de la personne qui y figure, dans le but de l’humilier ou de la faire chanter.
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