Didier Leroy
Le principal problème pour le journaliste qui veut rencontrer Didier Leroy, c’est… de le rencontrer, justement. S’il fallait se rendre dans l’un des endroits où il passe le plus de temps, il faudrait l’accompagner dans l’un des avions privés de Toyota qui lui est attribué. Pas pratique. Sinon, il y a le Japon, son bureau principal. Ou la Chine, les Etats-Unis, la Russie… Et l’Europe, me direz-vous ? L’Europe, c’est d’abord le week-end, pour lequel il n’hésite pas à faire un aller-retour Japon-France comme d’autres partent à la campagne, histoire de le passer chez lui, à Marcq-en-Baràul (banlieue chic de Lille), avec son épouse. Le vieux continent, c’est aussi un bureau de passage au siège de Toyota Europe, à Bruxelles. C’est là que, finalement, nous le rejoignons. Oui, le plus difficile pour le journaliste est bien de trouver Didier Leroy. Car, une fois
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits