Depuis 2019, les demandes d’hébergement pour les personnes vivant avec une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme ont doublé, voire triplé dans certaines régions du Québec. Sur fond de pandémie et de pénurie de main-d’œuvre, cette explosion de la demande se répercute directement sur la qualité de vie des plus vulnérables. Mais les fondements mêmes des ressources d’hébergement, presque totalement privées et reposant sur un modèle de financement parfois fortement contraire à la réadaptation, sont aussi vivement critiqués. Incursion dans un milieu en crise.Invitée : Stéphanie ValletCrédits :Meeker Guerrier, animateurStéphanie Vallet, journaliste d'enquêteXavier Kronström Richard, réalisateurMarie-Ève Brassard, recherchisteFélix Deschênes, recherchisteAlexis Elina, composition musicale originalePour joindre l’équipe du balado : balado@ledevoir.com