Mon beau-frère et mon ami coquin: Histoires Érotiques Gay de Sexe Explicite

Par Manuel García

Ici, les hommes sont des saisons : brusques, tendres, violents et beaux. Manuel García raconte l’instant où l’on choisit de ne plus détourner les yeux : l’aveu se cache dans un rire, la passion dans un défi. Les récits disent la découverte, le regard posé malgré la peur, la fragilité du cœur pris au piège de ses propres serments.

Dans Mon beau-frère et mon ami coquin, la nuit s’enflamme autour d’une fête où l’alcool parle trop fort. Lui, arrogant, tatoué, torse à l’air, « une casquette baissée, un sourire de voyou », et l’ami complice qui attend « au coin de la rue ».

Trois présences, un plan, et ce moment où l’on se murmure enfin : c’est maintenant. La musique bat comme un sang neuf, une porte grince, un souffle s’arrête. Et l’on comprend que certains désirs ne se discutent pas : ils s’ouvrent, et vous emportent.

• Langue: Français
• Éditeur: Publishdrive
• Date de sortie: 21 nov. 2025
• ISBN: 3384760786

Aperçu du livre

Imprint

@ 2025 Manuel García

Photo de couverture : Canva

Impression et distribution pour le compte de l'auteur :

tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne.

L'œuvre, y compris ses parties, est protégée par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu.

Toute utilisation sans l'autorisation de l'auteur est interdite. La publication et la distribution sont effectuées sur ordre de l'auteur, qui peut être contacté à l'adresse suivante : Manuel Garcia, Nordstrasse 5, 99427 Weimar, Allemagne.

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Je m'amuse avec mon voisin curieux

PREMIÈRE PARTIE

DEUXIÈME PARTIE

FIN

Mon beau-frère et mon ami coquin

Le camionneur

Remerciements

Je m'amuse avec mon voisin curieux

PREMIÈRE PARTIE

Ce n'était pas la première fois que cela arrivait, cela se reproduisait pratiquement chaque semaine depuis que j'avais emménagé dans le nouvel immeuble. Le soir, surtout quand je quittais le travail plus tôt, je rentrais à la maison et je me retrouvais dans le silence, ce qui signifiait que ma grand-mère et mon petit-fils n'étaient pas là, ils étaient partis à l'église pour leurs engagements religieux. Je remerciais Dieu de m'offrir cette occasion de me reposer, puis, me précipitant dans la chambre au premier étage, je me débarrassais de mes vêtements formels et, vêtu uniquement d'un maillot de bain rayé et d'une serviette éponge, je me dirigeais immédiatement vers l'arrière de la grande maison.

Le chemin qui y menait était recouvert de gazon, je suivais la petite route de pierres inégales et, traversant le jardin, je me tenais devant la longue piscine bleutée, observant pendant plusieurs minutes le scintillement cristallin des eaux éclairées par les lampes internes, qui parsemaient la surface ondulante de l'eau. Dans cette région isolée, je me sentais libre de respirer, avec la brise soufflant au-dessus des arbres et les grillons sifflant dans la pelouse, gardant une harmonie parfaite dans une atmosphère paisible. Là, je faisais mes exercices après avoir pris une profonde inspiration, écoutant mes vertèbres cervicales craquer, puis je me laissais glisser dans un long plongeon qui fendait l'eau, restant silencieux pendant des heures jusqu'à ce que je sois sûr que mes pensées soient complètement en place.

C'était ma partie de la grande maison, ou du moins celle qui avait le plus influencé le contrat de location. C'était exactement comme je le souhaitais, avec la tranquillité que j'attendais. Un endroit approprié pour se reposer après une longue semaine épuisante, les problèmes quotidiens au bureau, les questions compliquées sur les forums et le stress lié aux embouteillages de la grande ville. Là, allongé sur une des chaises longues à l'air libre, je regardais simplement le ciel étoilé, écoutant le chant des grillons et, de temps en temps, au loin, le bourdonnement des maisons voisines. Là, je pouvais respirer tranquillement.

Le problème, c'est que depuis quelques jours, cette tranquillité ne se déroulait pas comme prévu. Depuis plusieurs semaines, j'avais l'impression d'être surveillé pendant que je faisais la sieste. Je ne savais pas pourquoi, mais je sentais que des yeux étaient posés sur moi. Le samedi, j'avais même inspecté les environs avec prudence, d'un bout à l'autre, en particulier les buissons de la haie vive, et à ma grande surprise, j'avais remarqué qu'à un certain endroit, juste à côté du bord de la piscine, il y avait une légère irrégularité dans la couche de feuilles, indiquant que quelque chose, peut-être un chien, s'était faufilé par là. C'était donc le moment de vérité, je me préparais à le prendre en flagrant délit.

Comme d'habitude, je suis arrivé tôt et je suis monté dans ma chambre pour me changer. Ma mère était encore à la maison, j'ai donc attendu un moment qu'elle et mon fils sortent pour traverser le jardin et descendre vers la piscine. Je n'ai laissé que les lumières allumées, qui ne gênaient en rien à cet endroit, car le terrain avait la taille d'une petite ferme et la piscine se trouvait tout au fond. Là, retirant la serviette de ma taille, je me suis placé devant le bord carrelé. J'ai fait mes étirements habituels, j'ai pris une grande inspiration en fléchissant le cou, puis j'ai fait le premier saut qui a fendu l'eau fraîche et m'a déposé devant, tout près de la haie vive où j'avais remarqué un trou dans le feuillage.

En levant lentement la tête, j'ai bien regardé la zone sombre et j'ai remarqué au loin seulement le faisceau de lumière qui s'échappait de la maison voisine, attirant mon attention sur l'absence de mouvement sur le balcon. Je suis resté ainsi un moment, silencieux, à regarder la zone, puis j'ai remarqué qu'une silhouette quittait la cuisine lointaine, t prudent, regardant derrière lui, et certain qu'il n'était pas suivi, il s'est dirigé rapidement vers moi.

Intérieurement, je me réjouis : cette fois, le fouineur arriverait sans être préparé pour sa « petite fête ». Je plongeai et nageai dans la direction opposée, là où l'obscurité cachait le champ de vision. Là, en appuyant mes poignets sur le rebord en céramique, je me suis hissé hors de l'eau, sentant l'eau froide couler sur ma poitrine, et je me suis immédiatement dirigé vers la haie vive, sentant l'herbe piquer la plante de mes pieds.

Je me suis adossé à la végétation, j'ai attendu quelques instants, et, le souffle court et un petit sourire malicieux de celui qui avait enfin réussi à monter une embuscade, je l'ai regardé s'approcher.

À ma grande joie, l'espion n'a pas tardé. Arrivé à la haie, il a de nouveau vérifié les environs, puis, se baissant, il s'est faufilé entre les tiges tordues et le feuillage écrasé. Le craquement des petites feuilles qui se brisaient résonnait doucement, provenant de ses pas hésitants, puis il s'est immobilisé, me cherchant du regard.

Je suis resté immobile un instant, respirant profondément pour que tout se passe bien. Puis, après avoir compté jusqu'à trois, je me suis révélé d'un seul coup dans la clairière, et d'un geste ferme et précis, je l'ai surpris,