Mon beau-frère curieux: Histoires Érotiques Gay de Sexe Explicite

Par Manuel García

Dans l’univers de Manuel García, la passion naît souvent là où elle ne devrait pas : au bord d’une piscine, dans un minibus surchargé, derrière une porte mal fermée. Ses nouvelles explorent la fragilité des frontières, la chaleur d’un contact involontaire qui persiste sur la peau, l’interdit qui révèle ce que l’on tait. Mon beau-frère curieux suit Alexandre, policier marié, qui voit ses certitudes vaciller face au corps tranquille, silencieusement provocant, de Marcus.

Un glissement dans l’eau, un frottement dans le bus, un maillot de bain oublié deviennent des preuves discrètes que le désir circule entre eux. « Tu vas tarder à sortir ? » demande une voix à travers la porte embuée, portant bien plus qu’un simple message. Entre loyauté et tentation, ce récit dévoile la lente naissance d’un aveu partagé. Parfois, le plus dangereux n’est pas le scandale, mais ce qu’on commence à espérer en secret.

• Langue: Français
• Éditeur: Publishdrive
• Date de sortie: 18 nov. 2025
• ISBN: 3384758102

Aperçu du livre

Imprint

@ 2025 Manuel García

Photo de couverture : Canva

Impression et distribution pour le compte de l'auteur :

tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne.

L'œuvre, y compris ses parties, est protégée par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu.

Toute utilisation sans l'autorisation de l'auteur est interdite. La publication et la distribution sont effectuées sur ordre de l'auteur, qui peut être contacté à l'adresse suivante : Manuel Garcia, Nordstrasse 5, 99427 Weimar, Allemagne.

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Whatsapp de mon beau-frère

Cette histoire s'est déroulée lorsque je vivais chez ma sœur, dans un village de l'intérieur de l'État du Minas Gerais, une petite ville bien structurée. La région est bien connue pour ses cascades et ses grottes, mais ce n'est pas le tourisme qui fait tourner l'économie locale, mais plutôt la cimenterie qui existe depuis toujours. C'est dans cette usine que travaille mon beau-frère, Ulisses, il est conducteur de chariot élévateur, un homme robuste, viril et très intéressant.

Ma sœur était infirmière dans un centre de soins d'urgence d'une ville voisine, elle travaillait de nuit, et c'est précisément pour cette raison que mon beau-frère et moi finissions par nous tenir compagnie pendant la nuit. Compagnie entre guillemets, car après le dîner, je préférais rester enfermé dans ma chambre, à naviguer sur les réseaux sociaux, tandis que lui choisissait de rester dans le salon, allongé sur le canapé, à regarder les informations. Lorsque les informations se terminaient, Ulisses changeait de chaîne et partageait son attention entre les sottises télévisées et l'écran de son téléphone portable. Et c'est là que commence cette aventure.

Un soir, très serré, j'ai quitté ma chambre pour aller aux toilettes, et en passant par le salon, j'ai vu que mon beau-frère n'était pas là. En vérifiant le chemin, j'ai remarqué une lumière allumée au loin, alors je me suis approché. Comme je m'y attendais, Ulisses était dans la pièce, silencieux, et à la lumière qui passait sous la porte, je pouvais voir que son ombre bougeait devant le lavabo, et de petits murmures résonnaient à côté. Je suis resté attentif à cette image, essayant de comprendre ce que c'était et d'où venaient ces murmures, jusqu'à ce que je comprenne : mon beau-frère était en train de se masturber.

Gêné et ne voulant pas déranger, j'ai fait un pas en arrière, me contentant d'écouter les bruits et d'observer les mouvements de son ombre sur le sol. Il faisait quelques pauses et je l'entendais murmurer, jusqu'à ce que, ne pouvant plus me retenir, je sois obligé de frapper.

Je l'ai fait de manière légère et désinvolte, puis j'ai remarqué qu'il avait sursauté, interrompant son mouvement. Il a dit qu'il sortait déjà, et j'ai remarqué qu'il ajustait son short, puis il a tiré la chasse d'eau et est sorti. Il essayait de dissimuler son embarras, et sans trop m'accorder d'importance, il a simplement quitté les lieux et a poursuivi son chemin, directement vers le salon. Avant de tourner au coin, je l'ai encore vu mettre la main dans sa poche et en sortir son téléphone portable.

C'était ça. Pour la première fois, j'avais surpris mon beau-frère en train de se masturber, et les bruits et les pauses ne pouvaient signifier qu'une chose : Ulisses s'exhibait pour quelqu'un. Je me suis demandé pour qui cela pouvait être, et quand j'ai repris mes esprits, j'étais complètement excité. Je me suis demandé à quoi pouvait ressembler l'exhibition de cette silhouette provocante, et je ne peux pas nier une chose, mon beau-frère avait un gros pénis.

Le lendemain matin, je me suis réveillé tôt et je suis allé travailler. J'étais assistant dans un cabinet d'avocats et je ne rentrais qu'en fin d'après-midi. À mon retour, je l'ai retrouvé à la maison et, comme d'habitude, après le dîner, chacun est allé vaquer à ses occupations. C'est alors que j'ai entendu quelqu'un sonner à la porte, puis la voix de mon beau-frère retentir à la fenêtre. Il est sorti pour accueillir son collègue, ce qui a éveillé ma curiosité.

Comme tout bon habitant de la campagne, je me suis levé pour aller voir qui c'était, et en passant devant le salon, mes yeux ont aperçu une forme lumineuse perdue parmi les coussins du canapé : c'était le téléphone portable d'Ulysse. Dans sa hâte d'aller répondre à son ami, mon beau-frère avait oublié l'appareil déverrouillé.

Le doute m'a envahi, j'ai regardé vers le garage et il était sur le trottoir, les bras croisés, en pleine conversation. J'ai regardé à nouveau l'appareil, inquiet. Si je voulais fouiller dans le téléphone, c'était le moment, pendant que mon beau-frère était distrait.

Prudent, je me suis approché des coussins et j'ai pris l'appareil. Craintif, j'ai glissé mon doigt sur la surface lumineuse et les icônes ont défilé sur l'écran. Je les ai parcourus un par un à la recherche de la galerie — le téléphone d'Ulysse était en désordre — mais mon attention