Ma Première Fois dans les Toilettes: Histoires Érotiques Gay de Sexe Explicite

Par Manuel García

Manuel García signe des histoires où le désir surgit dans les interstices du quotidien : stations de métro, couloirs anonymes, regards croisés trop longtemps. Ses récits homoérotiques captent la vulnérabilité des garçons qui n’osent pas encore se nommer, la puissance d’un geste implicite, la douceur trouble d’un homme plus âgé qui voit clair dans les hésitations d’un plus jeune. Dans Ma Première Fois dans les Toilettes, un garçon de vingt-cinq ans, obsédé par les hommes mûrs en costume, croit surprendre une scène interdite devant un urinoir.

La peur, la curiosité, la honte et l’excitation s’entrelacent tandis qu’il suit ce « gris » à travers la ville, jusqu’à une cabine discrète où le jeu de regards devient invitation. Un « Viens, si tu en as vraiment envie » murmuré à mi-voix suffit à faire basculer sa vie. Après, les toilettes publiques ne seront plus jamais seulement un passage obligé.

• Langue: Français
• Éditeur: Publishdrive
• Date de sortie: 17 nov. 2025
• ISBN: 3384757203

Aperçu du livre

Imprint

@ 2025 Manuel García

Photo de couverture : Canva

Impression et distribution pour le compte de l'auteur :

tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne.

L'œuvre, y compris ses parties, est protégée par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu.

Toute utilisation sans l'autorisation de l'auteur est interdite. La publication et la distribution sont effectuées sur ordre de l'auteur, qui peut être contacté à l'adresse suivante : Manuel Garcia, Nordstrasse 5, 99427 Weimar, Allemagne.

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MENELAU, MON OURS AILÉ

LE LOUP DE MER

MA PREMIÈRE FOIS DANS LES TOILETTES

CAT

LIONELLA

HYPNOTISÉ PAR LES COUILLES

Le directeur

Le garçon interdit

Remerciements

MENELAU, MON OURS AILÉ

Ah, le goût de la langue d'un homme barbu ! Ça m'excite toujours, ça m'emballe. Et ici, ça ne pourrait pas être différent. D'ailleurs, aujourd'hui, c'est une belle journée ; ou plutôt, encore mieux ! Il est vrai que cette sauna est très fréquentée par les ours, mais aujourd'hui, c'est une journée exceptionnelle ! Toutes sortes d'abdomens, de petits ventres, de bons ventres... tous « répondant aux critères de pelage pour identifier un bel ours » ! Poitrines et bras, ventres et épaules, aisselles et jambes... velus ! Des poils en abondance, sur d'innombrables corps, comme je dirais, délicieux ! Un brun ténébreux, avec une grosse moustache, dans le coin, déjà sans serviette, s'adonnant à deux ours musclés bien costauds. Pratiquement le meilleur film porno du site le plus secret ; mais juste là, devant moi, à deux doigts de participer et de sentir la chaleur des corps m'envelopper. Ils se touchent, se caressent et se lèchent... chacun plus délicieux que l'autre ! De quoi exciter le pasteur le plus rétrograde d' u de la télévision ! Bon sang, comme ils se sucent bien ! Et leurs mains, qui ne restent pas en place, explorent les endroits les plus cachés et les sexes en érection de chacun. Le brun, plus potelé que les deux autres, se laisse emporter par l'hédonisme et s'abandonne totalement au plaisir des deux musclés qui, à en juger par les tatouages rouges sur leurs épaules, semblent être un couple. Et très libérés, apparemment. Vraiment, c'est un trio qui attire l'attention. Je suis sûr que plus de la moitié des personnes présentes dans le sauna sont excitées à cause d'eux !

Même moi, bien que mon compagnon y contribue aussi beaucoup ; un rouquin naturel très rare, qui respire le sexe comme une denrée rare dans notre forêt urbaine multiethnique. Il sait très bien où embrasser, où toucher, où poser sa bouche, où passer sa langue... souvent, je dois me retenir pour ne pas jouir trop vite, car cet homme sait très bien ce qu'il fait. Et il embrasse bien. Ah, comme ce rouquin embrasse bien. Incroyable que personne n'ait vu avant moi ce magnifique « chasseur de cannelle ». Encore un préjugé ? Je ne sais pas. Je sais seulement qu'ils ont raté l'occasion de profiter d'une excellente compagnie. Et agréable. Et excitante. Tellement excitante. Le rouquin lèche mes couilles, enfouit son visage dans mes poils, remonte en léchant mon ventre et ma poitrine. Il suce mes tétons, lèche mon cou, embrasse ma bouche avec une lascivité rare de nos jours. Mais, même si mon partenaire sexuel est le compagnon idéal avec qui vivre pendant au moins deux bonnes décennies, et aussi beau soit-il, enveloppé de cette aura carmin qui nous fascine, avec ces poils roux qui le font ressembler à un homme fait de feu, un délice recouvert de cannelle, je ne pourrais tout de même pas affirmer que je serais heureux aux côtés de cette merveilleuse nouvelle trouvaille. Certes, n'importe qui dans ce sauna donnerait deux centimètres de bite pour être avec lui, mais avec moi, malheureusement, ça ne marcherait pas. Alors qu'il recommence à me sucer avec envie, je cambre le dos de désir et je regarde à nouveau la salle, pleine d'hommes corpulents, poilus et livrés aux moments de plaisir les plus divers entre corps nus.

Un beau couple, un Noir et un Blond, tous deux potelés, est totalement livré au sexe sur le banc au centre de la grande salle, apparemment indifférent à tout ce qui l'entoure. Apparemment seulement, car dès la première interaction d'un ou quatre autres qui les touchent à différents endroits du corps, ils répondent par un baiser, un coup de langue ou un regard langoureux de désir, invitant à participer au moment intense qu'ils vivent. C'est beau de voir le Noir s'abandonner au Blond, le sexe blanc du Blond pénétrant le Noir aux bras forts et au ventre rebondi. Les deux, dans une chorégraphie sexuelle intense, gémissent intensément, mais sans crier, contaminant l'air de mots grossiers, de sexe ardent et de gémissements provocants !

Et, un peu plus à l'écart, un beau brun, au torse très velu, permet à trois personnes agenouillées de se relayer pour sucer sa belle bite de plus de vingt centimètres, qu'il balance d'un côté à l'autre, provoquant les trois petits chiens obéissants qui attendent une occasion de lécher le beau membre, et tous les autres qui restent à regarder, se masturbant frénétiquement tout en offrant leurs bites fermes à tout le monde, attendant quelqu'un qui assouvisse leur désir d'être avec quelqu'un. Un beau mec, au dos poilu, est à quatre pattes sur un autre banc, montrant son intimité, l'exposant en hauteur à qui veut l'utiliser. Certains passent et le lèchent avec beaucoup d'enthousiasme ; d'autres passent et jouent avec leurs doigts. Jusqu'à ce que, finalement, il se donne à celui qui lui enfonce le doigt et le tire comme une remorque. Ils s'en vont tous les deux, s'embrassant et s'amusant, entrant dans l'une des pièces de l'enceinte. Des bites de différentes tailles, avec des poils plus ou moins abondants, des ventres de formes et