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Dans le sommeil de la mélancolie
Dans le sommeil de la mélancolie
Dans le sommeil de la mélancolie
Livre électronique149 pages48 minutes

Dans le sommeil de la mélancolie

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À propos de ce livre électronique

"Dans le sommeil de la mélancolie" est un recueil de poésie qui confronte le lecteur à l’écho de ses propres contradictions. Oscillant entre prose et vers, il explore la douleur du départ, la solitude de l’abandon, et surtout, la nécessité de l’introspection. Loin de rejeter la faute sur l’autre, l’auteur interroge ses propres responsabilités, ses erreurs, et la part d’ombre que chacun porte en silence.

 À PROPOS DE L'AUTEUR

Ramsès Talla cultive sa passion pour la littérature à travers de nombreuses lectures. Il explore, avec une plume empreinte de sensibilité, les méandres de l’âme humaine et les silences qui l’habitent. Dans son premier recueil, il invite à repenser la tendance à attribuer nos maux aux autres.
LangueFrançais
ÉditeurLe Lys Bleu Éditions
Date de sortie20 mai 2025
ISBN9791042271794
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    Aperçu du livre

    Dans le sommeil de la mélancolie - Ramsès Talla

    Mon papillon splendide

    Contempler ton étincelant visage étoilé,

    Observer tes ronds de danse,

    Tels furent les moments les plus figés,

    Que tu m’offris telle une récompense.

    Je ferme les yeux sur tes imperfections éphémères

    Et j’aspire la brume de tes charmes nycthémères,

    Le noir profond dans la maison de ton absence,

    M’engloutit et me dégrade avec évanescence.

    La douceur de ton âme gravite autour de mon cœur,

    La chaleur de ton sourire me comble de bonheur,

    La mélodieuse splendeur de ta voix effraie mes peurs,

    Passant au rouleau compresseur mes malheurs.

    Ta silhouette danse au rythme ascendant des marées,

    Et noie mes doutes dans les plus grandes contrées,

    En dessinant sur le tableau de ma destinée,

    Peu à peu les prémisses d’une lueur de foi,

    Dans mon monde baigné de tristesse et de désespoir.

    Tu es la parfaite description de la beauté,

    N’en possédant aucune marque particulière

    La définition du beau étant mal établie,

    Justement pour décrire ce que tu es,

    Il faut plus de verbes qu’il n’a de grains de sable sur terre,

    Et plus d’adjectifs qu’il n’y a de gouttes d’eau dans la mer.

    Car ainsi te décrirais-je :

    Un mélange de tout ce qu’on a,

    De tout ce qu’on n’a pas,

    De tout ce qu’il est impossible de concevoir.

    Et de tout ce qu’on aurait souhaité avoir.

    Plaisir inchangé

    Ma constellation du bien-être brille de mille feux,

    Après chaque minute passée dans le jardin de ton sourire,

    Tes trente-deux portes clôturant les sentiers lumineux,

    Qui me mènent paisiblement vers des horizons adoucis.

    Un silencieux bruit m’interpelle.

    Court instant après les questions,

    Guère ne se présentent mille options,

    À ton écoute, je prête amoureusement l’oreille.

    Ainsi me rappelé-je de ces frissons que j’eus,

    Lorsque je posais mes peines sur un aussi agréable fauteuil.

    D’une grande force qui ne prévoit aucune chute.

    Et, qui, malgré les obstacles, ne montra aucun seuil.

    De nuit, pas besoin de lumière,

    Car elle se trouve dans tes yeux,

    De Soleil, pas besoin d’ombres

    Puisqu’il y en a dans ton regard.

    J’ouvre le livre de nos récits,

    Qui ne contient qu’une seule page,

    Et je m’y hypnotise dans l’impression,

    De nager dans les narrations de la réalité.

    À jamais

    J’ai écrit ton nom au bord de la plage,

    Les vagues l’ont effacé,

    J’ai peint ton visage sur le tableau des nuages,

    Les vents l’ont emporté,

    J’ai les ai gravés dans mon cœur,

    Et je n’ai pu les oublier.

    Murmures temporels

    Les chaleureux moments de notre histoire,

    Font éternellement les contours de ma mémoire.

    Ton regard blanc rosé, le plus brillant des miroirs,

    Scintille comme une coupe de poussière d’étoiles.

    Ta bienveillance définit la beauté de ce paysage,

    Dans lequel un séjour est un magique voyage,

    À cette grande victoire, un prestigieux trophée,

    Venant conclure les merveilleuses épopées.

    Difficile de distinguer les éclats de la nouveauté,

    Au centre du charme, le net enthousiasme de la première fois.

    Les scènes sont si bien jouées, tout semble si bien aiguisé,

    Et me séduit encore sans se faire apercevoir.

    Tes scansions apaisantes à l’aurore,

    Les oiseaux impulsant les vibrations sonores,

    Accompagnent avec tendresse le lever du Soleil.

    Et exhalent les effluves d’un paisible réveil.

    Ce soir-là, dans un ciel sans étoiles,

    De tes paroles, la plus claire des réponses.

    Mais avec le temps imparti,

    Je demeure dans un océan de questions.

    Ainsi, te priais-je,

    De faire ressentir en moi,

    Pour la dernière fois,

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