Le Prince d'Elfonesse: Féalandvil et Féavonoé, #1

Par Joseph C. Chaput

Écoutez ô enfant de Gallia, au conte de Féalandvil prince d'Elfonesse, qui risqua tout pour l'âme de sa femme. Voyageant à travers de mer, terre et montagne il défiera la démone Hella elle-même. Son seul aide ; l'épée de son père le Roi, et le loup céleste Féavonoé dont même les dieux craignent…

• Langue: Français
• Éditeur: Joseph C. Chaput
• Date de sortie: 29 nov. 2023
• ISBN: 9798223623052

Joseph C. Chaput

Writer of Fantasy, with a terrible book-addiction that can never be sated. Ecrivain de Fantasie, avec une addiction incurable pour des romans.

Aperçu du livre

Joseph C. Chaput

Publié par Joseph C. Chaput, 2023

Ceci n'est que du fiction. Similarités à des gens réels, places, ou évènements n'est qu’une coincidence.

LE PRINCE D'ELFONESSE

Premier édition. Novembre 29, 2023.

Copyright © 2023 Joseph C. Chaput.

Écrite par Joseph C. Chaput.

Jett, le plus brillant, merveilleux et mignon des chiens...

Et à la France Éternelle, et tous ses enfants !

Livre I : Le Prince d’Elfonesse

Trois rois régnèrent à l’aube,

Avant l’arriver des hommes bien-hautes

Ils croisèrent tous les terres de l’Ouest,

Leurs pieds criantes des protestent,

À travers des vallées et champs,

Scintillant leurs javelots toujours tranchants,

Boucliers brillant tard dans la nuit,

Lui l’ainé par les étoiles fut séduit,

D’argent étincelant plus que la lune

Était faite sa couronne couverte de runes,

L’étoile enflammée capturée par sa bannière,

Son cor doré fit tous alaire,

Là parmi le jardin sans fin,

Il arriva pour régner au-dessus des terres de vin,

Ors, argents et perles il avait,

Et corselets, boucliers et épées il possédait,

Tout il aimait si moins que son fils,

Le prince d’Elfonesse grand comme un édifice,

Un fils avait-il, un surnommé Féalandvil,

Plus vaillant et fort que des hommes était-il.

Aucun bras-fort ne manierait des armes,

Autant que son arme vite comme une flamme,

Pour le reste de l’histoire personne, ne reverrait son égal,

Partout brillait-il, de mer aux montes si merveilleux et régal,

Son tunique écarlate comme les soleils,

Lui de la plus haute naissance traditionnelle,

Haubert luisant bleu comme la mer,

Son cape verte long comme l’herbe,

D’ailleurs ses yeux roux rappel aux flammes,

Boucle dorées longues fit songé au Oriflamme,

Son épée rapide rappela à l’aigle en l’air,

Sa voix profonde et claire,

Le chêne grand,

Ses branches énormes,

La fragrance de la cuire qui étonne,

Autant que son ténore

Qui apporta à l’esprit l’aurore,

Voix du volcan,

Plus que tout ceci son apparence majestueuse,

Sa nature