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Le Christianisme Mystique: Les enseignements intérieurs du Maître
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Livre électronique255 pages4 heures

Le Christianisme Mystique: Les enseignements intérieurs du Maître

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À propos de ce livre électronique

L'histoire de Jésus et ses enseignements sont différents de la manière dont ils ont été racontés jusqu'à présent.

Si vous voulez découvrir, à travers les écrits de Yogi Ramacharaka, en douze leçons la révision des dogmes du christianisme à travers le regard de la spiritualité orientale.

Une nouvelle interprétation de l'étoile de Bethléem, de la virginité de Marie, de la jeunesse de Jésus-Christ, de la véritable nature du Christ, de sa crucifixion et de sa résurrection.

Découvrez les enseignements cachés et privés que Jésus a transmis à ses disciples sous un angle totalement différent.

LangueFrançais
Date de sortie27 août 2022
ISBN9781005047801
Le Christianisme Mystique: Les enseignements intérieurs du Maître
Auteur

Yogi Ramacharaka

Yogi Ramacharaka is a pseudonym of William Walker Atkinson (1862 – 1932), who was a noted occultist and pioneer of the New Thought Movement. He wrote extensively throughout his lifetime, often using various pseudonyms. He is widely credited with writing The Kybalion and was the founder of the Yogi Publication Society.

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    Aperçu du livre

    Le Christianisme Mystique - Yogi Ramacharaka

    LE PRÉCURSEUR.

    D'étranges rumeurs parvinrent aux oreilles des habitants de Jérusalem et des pays environnants. Un nouveau prophète serait apparu dans la basse vallée du Jourdain et dans le nord du désert de Judée, prêchant des doctrines étonnantes. Ses enseignements ressemblaient à ceux des prophètes d'autrefois, et son cri de Repentez-vous ! Repentez-vous ! car le Royaume des Cieux est proche a réveillé d'étranges souvenirs des anciens maîtres de la race, et a fait que les gens ordinaires regardaient avec étonnement chaque les autres, et les classes dirigeantes de froncer les sourcils et de paraître sérieuses, lorsque le nom du nouveau prophète était mentionné.

    La personne que le peuple appelait un prophète, et que les grands appelaient un imposteur, était connue sous le nom de Jean-Baptiste, et il vivait dans le désert, très loin.

    de lieux fréquentés par des personnes. Il était vêtu des vêtements rudimentaires des ascètes errants, sa robe rudimentaire en peau de chameau attachée autour de son corps avec une ceinture de cuir rudimentaire. Leur régime alimentaire était frugal et élémentaire, composé de criquets comestibles de la région, ainsi que de miel sauvage stocké par les abeilles du désert.

    En apparence, Jean, que les gens appelaient le Baptiste, était grand, nerveux et rugueux. Sa peau était tannée d'un brun foncé par les vents et le soleil qui la frappaient sans qu'on l'entende. Ses longs cheveux noirs pendaient librement autour de ses épaules, et ils se balançaient comme une crinière de lion quand elle parlait. Sa barbe était grossière et non taillée. Ses yeux brillaient comme des charbons ardents et semblaient brûler jusqu'à l'âme de ses auditeurs. C'était le visage du religieux enthousiaste avec un Message au monde.

    Ce prophète sauvage était très énergique et ses enseignements étaient exprimés dans les mots les plus forts. Il n'y avait ni tact, ni politique, ni persuasion dans son message.

    Il a lancé ses éclairs verbaux directement sur sa foule, la force et le sérieux mêmes qui émanaient de lui servant à charger ses paroles d'un dynamisme et d'un magnétisme qui se sont précipités à travers la foule comme une étincelle d'électricité, faisant tomber les gens de leurs pieds et faisant éclater la vérité. monter en eux, comme par une charge d'un explosif puissant. Il leur dit que le grain spirituel devait être recueilli dans les granges, tandis que la paille devait être consommée comme dans une fournaise ardente ; que la cognée soit mise à la racine des arbres qui ne portent pas de bons fruits. En effet, le Jour du Seigneur, promis depuis longtemps par les prophètes, était proche pour ses auditeurs et disciples.

    John a rapidement rassemblé une suite, des gens affluant vers lui de tout le pays, y compris de Galilée. Ses disciples se mirent à parler entre eux, se demandant si cet homme n'était pas bien le Maître promis depuis longtemps, le Messie que tout Israël attendait depuis des siècles. Ce discours qui parvint aux oreilles du prophète le poussa à répondre à la question dans ses discours en disant :

    Il vient après moi un plus puissant que moi, dont je ne suis pas digne de délier la lanière de sa chaussure ; celui qui vient après moi est plus puissant que moi.

    Et c'est ainsi que peu à peu on fit savoir à ses disciples, et aux étrangers qui assistaient à ses réunions, que ce Jean-Baptiste, tout puissant prédicateur qu'il était, n'était que le héraut d'un bien plus grand que lui, qui devait le suivre. , qu'il était le précurseur du Maître, selon l'imagerie orientale qui représentait le précurseur des grands dignitaires, courant devant le char de son maître, criant à haute voix à tout le peuple rassemblé sur la route, qu'ils devaient faire place aux grands qui s'approchaient homme, criant constamment :

    « Faites place ! Faites place au Seigneur !

    Et par conséquent, il y eut une nouvelle vague d'enthousiasme parmi les disciples de Jean, qui se répandit rapidement dans le pays environnant, à cette promesse de la venue du Seigneur, le Maître, peut-être même le Messie des Juifs. Et beaucoup d'autres vinrent à Jean, et avec lui attendirent la Venue du Maître.

    Ce Jean-Baptiste est né dans la région montagneuse de Judée, près de trente ans avant qu'il n'apparaisse comme prophète. Su padre era de la orden sacerdotal, o casta del templo, que había llegado a una edad avanzada, y que vivía con su anciana esposa en retiro, lejos del ruido y la confusión del mundo, esperando el acercamiento gradual de lo que viene a todos les personnes. Similairement. Puis un fils leur est venu de leur vieillesse, inattendu et inattendu, qui est venu comme un signe de faveur spéciale de Dieu, un fils, à qui ils ont donné le nom de Johanan, qui en hébreu signifie Jéhovah est miséricordieux.

    Élevé dans la maison de ses parents, la maison d'un prêtre, Juan s'est imprégné de tous les Enseignements Intérieurs réservés à quelques-uns et cachés aux masses. Les secrets de la Kabbale, ce système d'occultisme et de mysticisme hébreux dans lequel les grands prêtres de Judée étaient bien versés, lui furent révélés, et la tradition occulte dit qu'il fut initié au cercle intérieur des mystiques hébreux, composé uniquement de prêtres. d'un certain degré, et leurs enfants. Juan est devenu occultiste et mystique. Quand le garçon atteignit l'âge de la puberté, il quitta la maison de ses parents et alla dans le désert, regardant vers l'Orient, d'où vient toute lumière.

    En d'autres termes, il est devenu un ascète, vivant dans le désert, tout comme en Inde, même aujourd'hui, les jeunes hommes de la classe sacerdotale ou brahmane quittent parfois leurs maisons, abandonnant leur vie luxueuse, et fuient dans la jungle, où ils errent pour ans comme ascètes, vêtus d'un seul vêtement, se nourrissant de la nourriture la plus élémentaire et développant leur conscience spirituelle.

    Jean est resté un reclus jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge d'environ trente ans, lorsqu'il est sorti du désert pour prêcher la Venue du Seigneur, en obéissance à l'incitation de l'Esprit.

    Voyons où il était et ce qu'il a fait pendant les quinze années de sa vie dans le désert et les lieux cachés de Judée.

    Les traditions des Esséniens, préservées parmi les occultistes, déclarent que tandis que Jean était un ascète, il absorba les enseignements de cette étrange Fraternité Occulte connue sous le nom d'Esséniens, et ayant fait son apprentissage, il fut accepté dans l'ordre en tant qu'Initié et atteignit son les grades supérieurs réservés uniquement à ceux qui ont une spiritualité et un pouvoir développés.

    On dit que même en tant que simple enfant, il revendiquait et prouvait son droit d'être pleinement initié aux Mystères de l'Ordre, et on croyait qu'il était une réincarnation de l'un des anciens prophètes hébreux.

    LES ESSÈNES

    Les Esséniens étaient une ancienne Fraternité Occulte Hébraïque, qui existait plusieurs centaines d'années avant l'époque de Jean. Ils avaient leur quartier général sur les rives orientales de la mer Morte, bien que leur influence s'étendît sur toute la Palestine, et leurs frères ascétiques se trouvaient dans tous les déserts. Les exigences de l'Ordre étaient très strictes, et ses rites et cérémonies étaient du plus haut degré mystique et occulte.

    Le Néophyte devait accomplir un apprentissage préalable d'un an avant d'être admis à une reconnaissance même partielle en tant que membre et frère. Un apprentissage supplémentaire de deux ans supplémentaires était nécessaire avant qu'il ne soit admis en tant que membre à part entière et étendit la main droite de la bourse. Il fallait du temps supplémentaire pour progresser davantage, et même le temps seul ne donnait pas droit au membre à certains grades élevés, les exigences étant que la connaissance, le pouvoir et la réussite réels devaient d'abord se manifester. Comme dans tous les véritables Ordres Occultes, le candidat doit travailler à son propre salut, ni l'argent ni l'influence n'ont de poids.

    Obéissance absolue aux Règles de l'Ordre; pauvreté absolue des biens matériels; continence sexuelle absolue : telles étaient les conditions d'adhésion à observer aussi bien par le Néophyte que par l'Initié, ainsi que par le Maître Supérieur. Réalisant cela, on peut imaginer le dégoût que Jean a été inspiré par les sollicitations amoureuses de Salomé, qui lui ont fait perdre la vie plutôt que de rompre les vœux de son Ordre, comme le montrent de manière si frappante les représentations théâtrales des temps modernes.

    L'une des cérémonies des Esséniens était celle du Baptême (littéralement, « immersion dans l'eau ») qui était administrée aux Candidats, avec la solennité et les rites appropriés. La signification mystique de la cérémonie qui est comprise par tous les membres des Ordres Cachés, même à ce jour, faisait partie du rituel créé par les Esséniens, et le rite lui-même était une caractéristique distinctive de leur Ordre. L'accomplissement de ce rite par Jean-Baptiste, dans son ministère, et son acceptation ultérieure par l'Église chrétienne comme un cérémonial distinctif, dont l'aspersion des enfants d'aujourd'hui est à la fois un rappel et un substitut, forme un lien clair entre les Esséniens et le christianisme moderne, et imprime fermement le sceau du mysticisme et de l'occultisme sur ce dernier, aussi peu que le grand public puisse souhaiter l'admettre dans son incompréhension ignorante et ses tendances matérialistes.

    Les Esséniens croyaient et enseignaient la doctrine de la réincarnation ; l'Immanence de Dieu; et bien d'autres Vérités Cachées, dont les traces apparaissent constamment dans les Enseignements Chrétiens, comme nous le verrons au fur et à mesure que nous avancerons dans ces leçons.

    Par l'intermédiaire de son Frère Exalté Jean-Baptiste, l'Ordre a transmis son enseignement à l'Église chrétienne primitive, se greffant ainsi en permanence sur une nouvelle croissance religieuse, nouvellement apparue sur la scène.

    Et les branches transplantées sont toujours là !

    Bien sûr, la véritable histoire du lien réel entre les Esséniens et le christianisme ne se trouve que dans les traditions des Esséniens et d'autres anciens ordres mystiques, dont beaucoup n'ont jamais été imprimés, mais ont été transmis de maître à élève. années. des siècles à nos jours, parmi les Fraternités Occultes. Mais pour montrer à l'étudiant que nous ne faisons pas d'affirmations qui ne peuvent être prouvées par les preuves dont il dispose, nous le renverrons à n'importe quel ouvrage de référence standard sur le sujet. Par exemple, si vous vous référez à l'article de la Nouvelle Encyclopédie Internationale (Vol. VII, page 217) sur les Esséniens, vous lirez les mots suivants :

    "C'est une question intéressante de savoir combien le christianisme doit à l'essénisme.

    Il semblerait qu'il y ait eu place pour un contact entre Jean-Baptiste et ce

    Fraternité. Son temps de préparation a été passé dans le désert près de la

    Mer Morte; sa prédication de justice envers Dieu et de justice envers

    le voisin était d'accord avec l'essénisme ; tandis que son insistance sur le baptême était en accord avec l'accent essénien sur les illustrations ».

    Le même article contient l'affirmation selon laquelle la Fraternité Essénienne enseignait une certaine vue divertissante sur l'origine, l'état présent et le destin futur de l'âme, qui était considérée comme préexistante, étant piégée dans le corps comme dans une prison, etc.

    Jean a quitté le désert lorsqu'il avait atteint l'âge d'environ trente ans et a commencé son travail ministériel, qui a duré plusieurs années jusqu'à sa mort aux mains d'Hérode. Il rassembla autour de lui une suite nombreuse et enthousiaste, commençant par les classes les plus humbles et embrassant plus tard un certain nombre de rangs sociaux supérieurs.

    Il a formé ses disciples les plus avancés dans un groupe de disciples, avec des règles prescrites concernant le jeûne, le culte, les cérémonies, les rites, etc., suivant de près le modèle de ceux favorisés par les Esséniens. Cette organisation a continué jusqu'au moment de la mort de Jean, lorsqu'elle a fusionné avec les disciples de Jésus et a exercé une influence marquée sur l'église chrétienne primitive.

    Comme nous l'avons dit, l'une des principales exigences qu'il exigeait de tous ses disciples était celle du baptême, le rite essénien, dont il tirait son nom de famille, le Baptiste. Mais il faut se rappeler que pour Jean ce rite était une cérémonie symbolique, mystique et extrêmement sacrée, qui avait un sens profond et caché que beaucoup de ses convertis ne percevaient pas et qui s'y soumettaient sous la ferveur de l'émotion religieuse, et qui considéraient naïvement c'est comme un rite magique qui lava le péché de leur âme, comme il lava la saleté de leur corps, une croyance qui semble toujours être en faveur de la foule.

    Jean travailla assidûment à sa mission, et les « Baptistes » ou « Adeptes des Jeanistes », comme on les appelait, augmentèrent rapidement. Leurs réunions étaient des événements d'une grande importance pour des milliers de personnes qui s'étaient rassemblées de toute la Palestine pour voir et entendre le prophète du désert, l'Essénien sorti de sa retraite.

    Leurs réunions étaient souvent accompagnées d'événements surprenants, de conversions soudaines, de visions, de transes, etc., et beaucoup développaient la possession de pouvoirs et de facultés inhabituels. Mais un jour s'est tenue une réunion destinée à acquérir une renommée mondiale. Ce fut le jour où le MAÎTRE vint à Jean-Baptiste, dont Jean avait souvent annoncé et promis la venue. JESUS LE CHRIST est apparu sur la scène et a confronté son Précurseur.

    Les traditions disent que Jésus est venu à l'improviste et non reconnu par Jean et la foule. Il ignorait la nature et le degré de son hôte et candidat au baptême. Bien que les deux étaient cousins, ils ne s'étaient pas vus depuis l'enfance, et Jean n'a d'abord pas reconnu Jésus. Les traditions des Ordres Mystiques déclarent en outre que Jésus a ensuite donné à Jean les divers signes des Fraternités Occultes auxquelles ils appartenaient tous les deux, travaillant à partir des signes communs jusqu'à ce que Jésus ait obtenu des diplômes que Jean n'avait pas atteints, bien qu'il ait été un éminent Essénien de haut niveau. .

    Alors Juan vit que la personne devant lui n'était pas un candidat ordinaire au baptême, mais plutôt un Adepte Mystique du plus haut degré et un Maître de l'Occultisme, supérieur à lui en rang et en développement.

    Juan, voyant cela, avertit Jésus, disant qu'il n'était pas convenable ou selon les coutumes des Confréries, que les inférieurs baptisent les supérieurs. Le Nouveau Testament prend acte de cet événement en ces termes :

    Mais Jean l'a interdit, disant: J'ai besoin d'être baptisé par vous, et vous venez à moi? (Mat. 3:14).

    Mais Jésus a insisté pour que Jean accomplisse le rite sur lui, au motif qu'il souhaitait passer par le cérémonial pour apposer sur lui Son sceau d'approbation, et pour montrer qu'il se considérait comme une personne, parmi les gens, venez à lui. des vies.

    Tant dans les traditions occultes que dans le récit du Nouveau Testament, on prétend qu'au baptême il y a eu un événement mystique, l'Esprit de Dieu descendant comme une colombe et se reposant sur Lui, et une voix du ciel disant : Voici mon bien-aimé Fils en qui je suis bien content.

    Et avec ces mots, la mission de Jean-Baptiste, en tant que précurseur du Maître, a été accomplie.

    Le Maître était apparu pour entreprendre son œuvre.

    LE MAÎTRE.

    Et, maintenant, revenons dans les pages du Livre du Temps, à une période d'environ trente ans avant que les événements susmentionnés ne se produisent. Tournons notre regard vers les événements entourant la naissance de Jésus, afin que nous puissions retracer les forces mystiques et occultes à l'œuvre depuis le début du christianisme. Il y a des événements de la plus haute importance embrassés dans ces trente années.

    Commençons le Récit Mystique de Jésus le Christ, tel qu'il est raconté au Néophyte de chaque Ordre Occulte, par le Maître Instructeur, par le récit d'un événement qui a précédé sa naissance de plus d'un an.

    Dans Matthieu 2:1-2, ce qui suit est lié :

    « Lorsque Jésus naquit à Bethléem de Judée, aux jours du roi Hérode, voici, des sages vinrent de l'orient à Jérusalem, disant : Où est le roi des Juifs qui est né ? Car nous avons vu son étoile dans le est, et ils sont venus pour l'adorer."

    Dans ces mots simples, un événement est énoncé qui, exprimé dans une narration beaucoup plus étendue, forme une partie importante des Enseignements Ésotériques des Confréries Mystiques et des Ordres Occultes d'Orient, et qui est également connu des membres des ordres secrets affiliés. du monde occidental. .

    L'histoire des SORCIERS est ancrée dans les traditions des mystiques orientaux, et ici nous vous donnerons un bref résumé de l'histoire racontée par le Hiérophante au Néophyte, le Guru au Chela.

    Pour comprendre l'histoire, vous devez savoir qui étaient ces sages de l'Est - les mages. Et cela vous sera enseigné maintenant.

    LES ROIS SAGES OU SAGES.

    Les traducteurs du Nouveau Testament ont traduit les mots qui nomment ces visiteurs de loin comme les Sages de l'Est, mais dans le grec original, Matthieu a utilisé les mots Les Sages, comme on peut le voir en se référant aux versions grecques . originaux, ou la traduction révisée, qui donne le terme grec dans une note de bas de page.

    Toute encyclopédie de premier plan corroborera cette affirmation. Le terme « les mages » était la déclaration exacte de Matthieu dans le grec original dans lequel l'Évangile a été écrit, le terme « les mages » provenant des traducteurs anglais. Il n'y a absolument aucun différend sur cette question parmi les érudits de la Bible, bien que le grand public ne soit pas conscient du lien, ni n'identifie les mages avec les mages orientaux.

    Le mot Magi vient dans la langue anglaise directement du grec, qui à son tour l'a progressivement acquis des langues persane, chaldéenne, médiane et assyrienne.

    Cela signifie littéralement travailleur des merveilles, et a été appliqué aux membres des ordres sacerdotaux occultes de Perse, de Médie et de Chaldée, qui étaient des Adeptes Mystiques et des Maîtres de l'Occultisme. L'histoire ancienne regorge de références à ce corps d'hommes. Fueron los custodios del conocimiento oculto del mundo durante siglos, y los inapreciables tesoros de las Enseñanzas Internas que posee la raza en la actualidad han llegado a través de las manos de estos hombres, los magos, que atendían los fuegos sagrados del misticismo y mantenían encendida La flamme. En pensant à sa tâche, on se rappelle les paroles d'Edward Carpenter, le poète, qui chante :

    Ô que la flamme ne s'éteigne pas ! Chéris, âge après âge dans leurs sombres cavernes, dans leurs saints temples chéris. Nourris par de purs ministres d'amour, que la flamme ne s'éteigne pas.

    Le titre de Magi était très apprécié à cette époque, mais est tombé en discrédit ces derniers temps en raison de son utilisation croissante comme appellation pour les praticiens de la Magie Noire, ou des sorciers maléfiques ou des sorciers. de ces jours. Mais comme un auteur l'a dit avec justesse dans la New International Encyclopedia (Vol. XII, page 674) :

    Le terme est utilisé dans son vrai sens par Matthieu (2:1) des sages qui sont venus de l'Orient à Jérusalem pour adorer le Christ. L'importance de cet événement doit être notée parce que la doctrine messianique était ancienne et établie dans le zoroastrisme.

    Le même article dit des mages: ... ils croyaient en une résurrection, une vie après la mort et l'avènement d'un sauveur.

    Pour comprendre la nature des magiciens par rapport à leur « œuvre prodigieuse » occulte, nous devons nous tourner vers les dictionnaires, où nous verrons que le mot « magie » est dérivé du titre « magiciens » ; le mot Wizard était à l'origine Magian, signifiant l'un des sorciers.

    Webster définit le mot Magic comme suit :

    « La sagesse occulte que les magiciens sont censés posséder ; relative aux pouvoirs cachés de la nature ; la maîtrise des forces secrètes de la nature », etc.

    Vous déclarant que ces Mages, les Mages venus adorer l'Enfant Jésus, étaient en réalité les représentants des grandes Confréries Mystiques et Ordres Occultes d'Orient : Adeptes, Maîtres, Hiérophantes !

    Et c'est ainsi que nous trouvons les « thaumaturges » occultes et mystiques - les frères de haut rang des Grandes Loges Orientales de l'Occultisme Mystique, qui apparaissent au tout début de l'Histoire du Christianisme, indiquant leur vif intérêt pour la naissance mortelle du grand Maître dont ils attendaient depuis longtemps la venue - le Maître des Maîtres !, et tous les Occultistes et Mystiques trouvent du plaisir et une juste fierté dans le fait que la première reconnaissance de la Nature Divine de cet enfant humain est venue de ces Sorciers

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