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1000 Chef-d'œuvre des Arts décoratifs
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Livre électronique1 283 pages6 heures

1000 Chef-d'œuvre des Arts décoratifs

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À propos de ce livre électronique

Des poteries sumériennes antiques aux verres teintés de Tiffany, les arts décoratifs constituent une part importante de la vie des hommes depuis des générations. Alors que les beaux-arts demeurent davantage dans les galeries et les musées, les arts décoratifs sont ceux de la vie de tous les jours, associant la beauté à la fonctionnalité, le prosaïque au fantastique. Dans cet ouvrage, Albert Jacquemart et Émile Michel célèbrent la beauté et le potentiel artistique des objets du quotidien. Après avoir parcouru ce livre, les lecteurs auront un nouvel avis sur les subtilités artistiques des objets utilitaires.
LangueFrançais
ÉditeurParkstone International
Date de sortie24 nov. 2014
ISBN9781783109548
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    Aperçu du livre

    1000 Chef-d'œuvre des Arts décoratifs - Victoria Charles

    Introduction

    Les arts décoratifs et industriels sont, comme toutes les formes de l’art, une expression de la vie : ils évoluent d’âge en âge avec les besoins, moraux ou matériels, auxquels ils doivent répondre. Modernes par leur programme, ils le sont aussi par les moyens, sans cesse renouvelés, que leur fournit la technique. Si le programme détermine les formes, la technique n’y est pas étrangère : tantôt elle les limite par ses imperfections, tantôt elle les développe par ses ressources. Parfois, c’est elle-même qui les impose. Jadis le tissage fut créé par la nécessité de se vêtir. Ses progrès ont déterminé ceux des arts textiles. De nos jours, la concurrence commerciale a créé la publicité : l’affiche en est une des manifestations ; la chromolithographie en a fait un art. Les chemins de fer n’auraient pu exister sans les progrès de la métallurgie : ceux-ci ont donné naissance à une architecture nouvelle.

    Le parallélisme des besoins de la vie et des techniques qui y pourvoient est une règle qui ne comporte pas d’exception. L’art ne peut pas suivre une autre voie. Si les formes qu’il crée sont déterminées par ces besoins et ces techniques, elles ne peuvent être que modernes. Plus elles sont logiques, plus elles ont chance d’être belles. Si l’art veut imaginer, sans raison, des formes originales, il s’égare dans des fantaisies qui passent vite, parce que rien ne les justifie. Les sources de l’inspiration ne font pas le modernisme. Pour nombreuses qu’elles soient, elles ne sont pas illimitées : ce n’est pas aujourd’hui que les artistes ont imaginé de tirer parti de la géométrie et ce n’est pas hier qu’ils ont, pour la première fois, puisé dans le règne végétal. Les orfèvres romains, les ciseleurs du temps de Louis XIV, les brodeurs japonais ont traduit la flore plus fidèlement peut-être que l’on ne le fit en 1900. Certaines poteries modernes s’apparentent aux œuvres primitives des Chinois ou des Grecs. Peut-être n’est-il pas paradoxal de prétendre que les formes nouvelles du décor ne sont que des formes anciennes tombées dans l’oubli. Excès d’imagination, abus des courbes compliquées, manie des ornements végétaux, telles demeurent, de siècle en siècle, les critiques adressées aux fantaisies des devanciers par les restaurateurs des lignes droites, ces lignes que la vision romantique de Delacroix qualifiait de monstrueuses. D’ailleurs, de même que dans toute assemblée il y a une droite et une gauche, il y a toujours eu, parmi les artistes, des anciens et des modernes, d’âge ou de tempérament. Leurs querelles paraissent d’autant plus vaines, qu’avec un peu de recul on aperçoit les caractères communs de leurs créations, qui en constituent le style.

    Le style d’une époque est marqué dans toutes ses productions et l’individualisme des artistes n’en exempte pas leurs œuvres. II serait excessif de prétendre que, pour être moderne, l’art doive se limiter aux visions actuelles. Il n’en est pas moins vrai que la représentation des mœurs et des costumes contemporains a été, de tout temps, l’un des éléments du modernisme. Le style d’un cratère corinthien provient de sa forme, dictée par la coutume de mélanger l’eau et le vin avant que de les servir ; il tient encore à son exécution dans une poterie tendre. Mais il résulte aussi de son décor : les scènes qui y étaient peintes représentaient la vie contemporaine ou transportaient la mythologie dans son cadre.

    Si l’on songe que la mécanique Jacquard et le métier à dentelle, que la grande métallurgie, le gaz d’éclairage, datent du début du XIXe siècle, il est curieux de constater que le seul intérêt qu’on y prit fut de les utiliser pour recopier les soieries anciennes, les dentelles à l’aiguille ou aux fuseaux, pour faire du faux appareil de pierre et allumer des bougies de porcelaine. Aussi faut-il admirer ceux qui osèrent employer dans la construction la fonte et le fer laminé apparents. Ceux-là furent les premiers à renouer avec la tradition du modernisme dans l’architecture : ils sont les vrais descendants des maîtres d’œuvre de nos cathédrales. Par là, Polonceau, Labrouste, Eiffel sont peut-être les auteurs de la renaissance du XXe siècle, plutôt que les décorateurs charmants qui, à la suite de Ruskin, tentèrent de rompre avec le pastiche et de créer a priori un nouveau style s’inspirant de la nature.

    La vision de la nature, transposée littéralement et traduite dans les œuvres d’Émile Gallé, ne pouvait se concilier avec les exigences de la destination et de la matière. « D’une courge, écrivait alors M. Robert de la Sizeranne, sort une bibliothèque, d’un chardon un bureau, d’un nénuphar une salle de bal. Un bahut est une synthèse, un gland de rideau une analyse, une pincette un symbole ». La recherche du nouveau emprunté à la poésie de la nature, en rupture volontaire avec les lois de la construction et les traditions de l’histoire, devait heurter tout à la fois le bon sens et le bon goût. Copier la nature dans sa fantaisie au lieu de l’étudier dans ses lois était une erreur aussi lourde que de pasticher les formes du passé sans regarder à quoi elles s’appliquaient. Ce ne fut qu’une mode : la mode n’est pas le modernisme.

    Renouer avec la tradition par tout ce qu’elle a de logique, trouver dans la destination des objets et dans les moyens techniques de les réaliser une expression neuve qui ne soit ni la contradiction ni l’imitation de formes antérieures, mais en constitue la suite naturelle, tel est l’idéal moderne du XXe siècle. Cet idéal subit une influence nouvelle, celle de la science. Comment les artistes demeureraient-ils étrangers à la présence latente, familière, universelle de ce néo-machinisme, véhicule des échanges entre les hommes : paquebots, locomotives, avions, qui assurent la maîtrise des continents et des mers, antennes et récepteurs qui captent la voix humaine sur toute la surface du globe, câbles qui jalonnent les routes éveillées à une vie nouvelle, visions du monde entier projetées à grande vitesse sur l’écran du cinéma ? La machine a renouvelé toutes les formes du travail : forêts de cylindres, réseaux de canalisations, mouvement régulier des moteurs. Tout ce bouillonnement confus de la vie universelle pourrait-il ne pas agir sur le cerveau des décorateurs ?

    Ainsi, de toutes parts, une époque transformée par le progrès scientifique et l’évolution économique, bouleversée politiquement et socialement par la guerre, s’affranchissait à la fois du pastiche anachronique et des illogiques fantaisies. Tandis que l’invention de l’artiste reprenait ses droits, la machine, cessant d’être un instrument de décadence intellectuelle par la diffusion des copies ou la contrefaçon des belles matières, faisait pénétrer partout les créations d’une esthétique originale et rationnelle. II manquait à ce mouvement mondial un soutien plus efficace de l’opinion, une compréhension plus claire du public. C’est cette consécration triomphale que pouvait lui apporter une Exposition. Mais, au lieu d’un bazar destiné à montrer la puissance de production respective des nations, il fallait qu’elle fût une présentation de choix tournée vers l’avenir.

    Quand l’Exposition, prévue pour 1916, puis ajournée du fait de la guerre, fut de nouveau envisagée en 1919 par les pouvoirs publics, des modifications s’imposaient. Le projet de classification de 1911 ne comportait que trois groupes : l’architecture, le mobilier, la parure. Les arts du théâtre, de la rue et des jardins, qui étaient des sections spéciales, devaient logiquement constituer un nouveau groupe. Le nouveau projet comportait aussi, dans son titre, une adjonction significative. L’Exposition devait être consacrée aux Arts décoratifs et « industriels ». C’était affirmer une volonté de coopération étroite entre la création esthétique et sa diffusion par les puissants moyens de l’industrie. À côté des fabricants, les fournisseurs de matériaux devaient aussi avoir une large place, grâce à la conception qui inspira les présentations de 1925. Tout entier d’ailleurs, l’art décoratif moderne devait être donné comme une réalité vivante, pleinement appropriée à des besoins actuels, esthétiques et matériels. Un carreau de revêtement céramique, une étoffe de tenture, un papier peint, n’ont leur raison d’être que sur la muraille qu’ils doivent parer. Le mode idéal de présentation était donc la réunion d’un certain nombre de demeures modernes, entièrement décorées à l’extérieur et à l’intérieur, à côté desquelles seraient montrés des magasins, des bureaux de poste, des salles d’école, constituant une sorte de réduction d’une ville ou d’un village moderne.

    Ces conceptions devaient, au reste, inspirer les dispositions générales adoptées pour l’utilisation des emplacements concédés et la répartition des œuvres qu’on s’était préoccupé de placer dans leur milieu. On déterminait ainsi quatre modes principaux de présentation : dans les pavillons isolés, dans les boutiques, dans les galeries de l’Esplanade des Invalides, dans les salles du Grand Palais. Les pavillons isolés, réservés à des groupements d’artistes, d’artisans et d’industriels devaient figurer des maisons de village et de campagne, des hôtelleries, des écoles, voire même des églises et des mairies, en un mot, tout le cadre de la vie moderne. Les boutiques marquaient l’importance accordée à l’art urbain et offraient la possibilité de présenter des devantures, des étalages, constituant des ensembles à la fois variés et homogènes. Les galeries, relevant plus particulièrement des groupes de l’architecture et du mobilier, permettaient des compositions d’ensemble reliées à la Cour des Métiers, qu’encadraient le théâtre et la bibliothèque. Elles devaient constituer la partie monumentale de l’Exposition. Enfin, l’aménagement intérieur du Grand Palais se prêtait à des répartitions systématiques par classes.

    L’Exposition suscita longtemps à l’avance, par l’émulation qu’elle provoqua chez les artistes et les industriels, une activité nouvelle. Les efforts des créateurs furent notablement encouragés par les groupements d’esprit moderne qui s’étaient multipliés et firent une active et efficace propagande. L’étranger n’attacha pas moins d’importance que nous-mêmes à une confrontation qui devait permettre à la plupart des pays de comparer leurs efforts et d’enrichir leurs conceptions. Ainsi, l’esprit de l’Exposition n’était pas un dogmatisme centralisateur, un modernisme officiel. Bien loin d’imposer une formule, de concrétiser un style, la manifestation de 1925 s’affirmait comme une enquête destinée à révéler les tendances de l’art contemporain, et à en montrer les premières réalisations. Le seul mot d’ordre était : production originale, appropriée aux besoins, universels ou locaux, de notre époque. Mot d’ordre que n’eût désavoué aucun des grands siècles passés, qui ne furent grands que parce qu’ils furent créateurs.

    1. Anonyme. Pendant aux abeilles,

    nécropole royale, Malia, 1700-1600 av. J.-C.

    Or. Musée archéologique d’Héraklion,

    Héraklion. Antiquité grecque.

    L’Antiquité

    On s’accorde pour trouver en Égypte les traces de la civilisation la plus lointaine et, par là même, la marque d’un premier style caractéristique. Le jour où l’homme a jugé qu’une matière était plus précieuse que les autres, il l’a travaillée avec amour, la consacrant à l’ornementation des temples élevés à la divinité ou à sa propre parure. Tous les écrits s’accordent à le prouver depuis l’histoire sainte, les récits homériques jusqu’aux antiques récits de l’Extrême-Orient. Les musées sont d’ailleurs venus confirmer le fait en montrant des témoins authentiques de ce sentiment inné du luxe chez tous les peuples de la terre. Qui n’est resté stupéfait devant la perfection des bijoux grecs exposés dans notre galerie du Louvre ou devant ces premiers essais des peuples inconnus du continent américain, aussi barbares et presque similaires à ceux de l’Asie Mineure ? Ne sait-on pas que chez nous la forme artistique donnée aux matières précieuses n’était qu’une parure provisoire propre à donner une apparence présentable à la richesse mobilière ? Les capitaux ainsi accumulés étaient facilement transportables et malheureusement encore plus facilement aliénables. Une guerre, une émigration, des besoins accidentels, conduisaient à l’atelier monétaire l’or ou l’argent qui jusque-là s’étaient fièrement exposés en vases, en meubles, en parures. Et ce n’est pas seulement l’Antiquité qui a dû subir ses vicissitudes. Toutes les époques de l’histoire ont eu leurs hécatombes d’œuvres d’art au moment où se faisaient sentir des besoins publics.

    La coquetterie, dont nous avons esquissé les premiers atours lorsque, dans la caverne, la femme préhistorique apparaissait recouverte de colliers de pierres colorées, ou de dents d’animaux et de coquillages perforés, va trouver maintenant des satisfactions supérieures, car, chez les Égyptiens, chez les Assyriens comme chez les Hébreux et dans toute l’Asie, l’orfèvrerie est déjà poussée à un haut degré de perfection. On a trouvé dans des sépultures égyptiennes : des pectoraux, des colliers de scarabées, de poissons symboliques, de fleurs de lotus, etc., parfaitement ciselés, mais qui n’approchent point cependant de la bijouterie grecque.

    L’orfèvrerie était une école où se formaient les maîtres ; Lysippe avait martelé le métal avant de devenir statuaire ; Alexandre, troisième fils de Persée et roi de Macédoine, ne dédaignait pas de ciseler l’argent et l’or. Le grand vase consacré dans le temple de Minerve a éternisé la réputation d’Aristote de Cliton. Calamis, tout en faisant des statues, enrichissait de bas-reliefs des vases d’argent qui, au temps de Néron, étaient à Rome et dans les Gaules un objet de luxe pour les Grands et un sujet d’émulation pour les artistes. Pourtant de magnifiques ouvrages, couronnes, vases, bijoux, font l’honneur de nos musées et suffisent à nous montrer que les chants d’Homère, les descriptions de Pline n’avaient rien d’exagéré. Les Grecs, excellèrent dans le travail strict du métal qu’ils repoussèrent avec art et ne soudèrent pas, tandis que les Égyptiens furent des maîtres dans la bijouterie pittoresque.

    L‘orfèvrerie romaine et étrusque nous est davantage familière, grâce aux fouilles opérées dans les nécropoles d’Étrurie et surtout dans les ruines d’Herculanum et de Pompéi qui nous montrèrent des agrafes, des pendants d’oreille, des patères, des miroirs, des fibules, etc., très édifiants comme forme, qualité de goût et beauté ; car les Romains, dans leur amour pour l‘or et les pierreries, apportèrent une délicatesse de goût que les Orientaux, en général, ignorèrent, plus préoccupés qu’ils étaient de l’originalité que de l’esthétique. Quant aux Gaulois et aux Francs, ils semblent affectionner les colliers et les anneaux de métal précieux dont leurs tombeaux nous fournissent tant de modèles. Il nous reste enfin de l’orfèvrerie gallo-romaine nombre de bracelets ou armilles en forme de serpents roulés, de colliers d’or, de plaques, de broches, etc. D’une manière générale, le style de ces bijoux est inséparable des styles monumental et décoratif. Si le meuble est un petit monument d’architecture, le bijou est un monument d’orfèvrerie en miniature. Interrogez ce bijou, il porte des dessins que nous reconnaîtrons pour les avoir déjà vus au fronton d’un temple, autour d’une colonne ; et sa forme, de même, nous rappellera tel détail d’architecture ou telle courbe d’amphore caractéristique.

    Si l’on poursuit avec l’énumération du mobilier égyptien, on trouve des coffres, des guéridons, des fauteuils, des tabourets, des tables, assez semblables comme silhouettes aux nôtres et, quant à l’ornementation, elle consiste en applications de métal, d’ivoire, de nacre et de bois précieux. D’une manière générale, ces meubles sont revêtus d’une couleur vive avec des coussins sur les fauteuils et les tabourets, et sur les lits, des sortes de sommiers en lanières de fibres ou de cuir témoignent du premier désir de confort. Les coffres, eux, sont des maisons ou des temples en réduction.

    Le tissage des étoffes remonte aux premiers âges du monde, et l’on reste confondu devant la perfection des ouvrages sortis des mains des antiques ouvriers de l’Égypte. Avec des métiers rudimentaires, des matières filées à la main, ils obtenaient de merveilleux tissus depuis cette sorte de velours de fil qu’on peut voir au musée du Louvre, la fine étoffe à longs poils et à frange dite fimbria, jusqu’à ce tissu transparent, qualifié par les Latins nebula linea, brouillard de lin, que nous retrouverons en Orient à Mossoul, et qui l’exportait sous le nom de mousseline.

    Qu’on se place du point de vue civil ou religieux, la plus ancienne parure des édifices et des intérieurs consiste dans la tenture, accompagnement des statues, des peintures et des mosaïques. Si haut qu’on remonte dans l’Antiquité on peut en retrouver l’usage. Dès les temps héroïques, les femmes phrygiennes et les femmes grecques étaient parvenues à représenter des fleurs et des figures humaines, non seulement au moyen de la broderie mais dans le tissu même d’élégantes étoffes. Les jeunes filles appelées à faire partie de la procession des Panathénées, brodaient à l’avance le voile ou péplum de Minerve, tenture énorme qui devait couvrir l’area hypèthre, c’est-à-dire la cour construite à ciel ouvert dans le temple de la déesse.

    2. Anonyme. Fauteuil de Hétephérès,

    IVe dynastie, 2575-2551 av. J.-C. Bois doré,

    79,5 x 71 cm. Musée égyptien, Le Caire.

    Antiquité égyptienne.

    3. Anonyme. Bracelets de la tombe de Djer,

    Ière dynastie, 2920-2770 av. J.-C. Or,

    lapis-lazuli, longueur : de 10,2 à 15,6 cm.

    Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

    4. Anonyme. Pendentif, Imdougoud le lion ailé,

    palais de Mari, vers 2650 av. J.-C. Lapis-lazuli,

    or, bitume et cuivre, 12,8 x 11,8 cm.

    Musée national de Damas, Damas.

    Antiquité orientale.

    5. Anonyme. Panneau décoratif, IIIe dynastie, 2630-2611 av. J.-C.

    Calcaire et faïence, 181 x 203 cm. Musée égyptien,

    Le Caire. Antiquité égyptienne.

    6. Anonyme. Étiquettes pour vases, Ière dynastie, 2920-2770 av. J.-C.

    Ivoire. Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

    7. Anonyme. Panneau incrusté

    provenant de la caisse de résonnance

    d’une harpe, vers 2600 av. J.-C.

    Coquilles et bitume, 31,1 x 11,3 cm.

    University of Pennsylvania Museum

    of Archeology and Anthropology,

    Philadelphie. Antiquité orientale.

    8. Anonyme. L’Étendard d’Ur (deux faces), vers 2600-2400 av. J.-C.

    Bois, coquillages, calcaire rouge et lapis-lazuli, 21,5 x 49,5 cm.

    British Museum, Londres. Antiquité orientale.

    9. Anonyme. Chaise à porteurs

    de Hétephérès, IVe dynastie, 2575-2551 av. J.-C.

    Bois doré à la feuille, hauteur : 52 cm.

    Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

    10. Anonyme. Lit de Hétephérès,

    IVe dynastie, 2575-2551 av. J.-C.

    Bois doré à la feuille, 178 x 21,5 x 35,5 cm.

    Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

    11. Anonyme. Bols de

    Hétephérès, IVe dynastie, 2575-2551 av. J.-C.

    Bois doré à la feuille, diamètre : de 8 à 8,5 cm.

    Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

    12. Anonyme. Chaîne d’amulettes

    avec fermoir, vers 2055-1650 av. J.-C.

    Argent, lapis-lazuli, verre, feldspath, électrum,

    porcelaine, cornaline et améthyste, longueur : 47 cm.

    British Museum, Londres. Antiquité égyptienne.

    13. Anonyme. Boucles d’oreilles,

    XVIIIe dynastie, vers 1550-1295 av. J.-C.

    Or, diamètre : 2,6 cm. British Museum,

    Londres. Antiquité égyptienne.

    14. Anonyme. Collier avec pectoral dédié

    à Sésostris II, XIIe dynastie, 1898-1881 av. J.-C.

    Or et pierres semi-précieuses, hauteur : 4,9 cm.

    Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

    15. Anonyme. Pendentif en forme de coquillage

    portant le nom d’Ibshemouabi, roi de Byblos, 2000-1500 av. J.-C.

    Or, pierres semi-précieuses, 7,5 x 7 cm. Direction générale

    des Antiquités, Beyrouth. Antiquité orientale.

    16. Anonyme. Pendentif de Méréret,

    XIIe dynastie, 1881-1794 av. J.-C.

    Pierres semi-précieuses, hauteur : 4,6 cm.

    Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

    17. Anonyme. Hache cérémonielle d’Ahmosis, XVIIIe dynastie,

    1550-1525 av. J.-C. Bois, cuivre, or et

    pierres précieuses, 47,5 x 6,7 cm.

    Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

    18. Anonyme. Dague

    de la princesse Ita, XIIe dynastie,

    1929-1898 av. J.-C. Or, bronze, pierres

    semi-précieuses, longueur : 28 cm.

    Musée égyptien, Le Caire.

    Antiquité égyptienne.

    19. Anonyme. Vase pieuvre, Palaikastro,

    vers 1500 av. J.-C. Terre blanche, hauteur : 28 cm.

    Musée archéologique d’Héraklion, Héraklion.

    Antiquité grecque.

    20. Anonyme. Masque funéraire dit

    « Masque d’Agamemnon », tombe 5, Mycènes,

    vers 1600-1500 av. J.-C. Or, hauteur : 31,5 cm.

    Musée archéologique national, Athènes. Antiquité grecque.

    21. Anonyme. Cruche à bec,

    provenant d’Héphaïstos, vers 1800 av. J.-C.

    Hauteur : 27 cm. Musée archéologique

    d’Héraklion, Héraklion. Antiquité grecque.

    22. Anonyme. Coupe en or de Vaphio,

    vers 1500-1400 av. J.-C. Or, hauteur : 7,5 cm.

    Musée archéologique national, Athènes.

    Antiquité grecque.

    23. Anonyme. Stèle d’Amenhotep, XVIIIe dynastie,

    vers 1400-1390 av. J.-C. Calcaire, traces

    de peinture, hauteur : 89 cm. British Museum,

    Londres. Antiquité égyptienne.

    24. Anonyme. Planche à dessin,

    XVIIIe dynastie, vers 1475 av. J.-C.

    Bois, plâtre, encre, 36,5 x 53,4 cm.

    British Museum, Londres.

    Antiquité égyptienne.

    25. Anonyme. Sceau-cylindre de Annipi,

    roi de Sidon et fils d’Addumu,

    vers le XIIIe siècle avant J.-C. Verre bleu (cobalt),

    hauteur : 2,7 cm. Musée du Louvre,

    Paris. Antiquité égyptienne.

    26. Anonyme. Vases au nom de Youya, XVIIIe dynastie,

    1387-1350 av. J.-C. Calcaire peint, hauteur : 25 cm.

    Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

    27. Anonyme. Vase à parfum, XVIIIe dynastie,

    1333-1323 av. J.-C. Albâtre, or, pâtes de verre,

    faïence, 70 x 36,8 cm. Musée égyptien,

    Le Caire. Antiquité égyptienne.

    28. Anonyme. Trône avec repose-pied, XVIIIe dynastie,

    1333-1323 av. J.-C. Bois, feuilles d’or, argent, pâtes de verre,

    pierres dures, faïences, hauteur du trône : 102 cm.

    Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

    29. Anonyme. Chaise de la princesse Satamon, XVIIIe dynastie,

    1387-1350 av. J.-C. Bois stuqué, feuilles d’or,

    fibres végétales, hauteur : 77 cm. Musée égyptien,

    Le Caire. Antiquité égyptienne.

    30. Anonyme. Appui-tête rabattable, XVIIIe dynastie,

    vers 1390-1295 av. J.-C. Bois, 19,2 x 19,4 cm.

    British Museum, Londres. Antiquité égyptienne.

    31. Anonyme. Coffre peint, XVIIIe dynastie, 1333-1323 av. J.-C.

    Bois stuqué et peint, 61 x 43 cm. Trésor de Toutânkhamon.

    Musée égyptien, Le Caire. Antiquité égyptienne.

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