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ON LAISSERA LE SOIN à quiconque voudra bien s’y coller de philosopher sur le besoin de trouver un héritier au rock sudiste d’antan, mais quitte à lancer les suffrages, on aurait un nom à soumettre. Et tant pis si Robert Jon, le client en question, est californien et qu’il a toujours pris soin de ne pas mettre ses guitares, son piano ou son orgue à l’ancienne dans le même sabot, “velléité” qu’il réaffirme à loisir ici pour son second album sous la coupe du label de Joe Bonamassa (et une pelletée d’autres “self-released” au préalable). À force de s’être tanné le cuir sur