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Les modèles concernés
❚ Tous appartiennent au groupe Stellantis (Citroën, DS, Opel et Peugeot). Ils sont équipés du trois cylindres essence de 1 197 cm3 (code EB2). Ce moteur, lancé en 2012 en version 82 ch, dans un premier temps sous l’appellation VTi, est encore aujourd’hui largement utilisé. Décliné de 68 à 155 ch, il est plus connu sous le label PureTech, adopté sur tous les niveaux de puissance en 2015. Il débarque chez Opel, suite au rachat de la marque par l’ex-groupe PSA en 2017, sous les noms 1.2 “tout court” (sans turbo) et 1.2 T ou Turbo, parfois flanqué du label Ecotec. Dans le lot, on distingue les blocs atmosphériques (83 ch et moins) et ceux dotés d’un turbo (110 ch et plus).
Quelles déclinaisons sur quelles voitures ?
Les moteurs atmosphériques à injection indirecte basse pression
68 ch (Citroën C3 “3”, Peugeot 208)
75 ch (Citroën C4 Cactus et Peugeot 208 “2”)
82 ch (Citroën C1 “2”, C3 “3”, C3 Aircross, C4 Cactus, C-Elysée, DS 3, Opel Crossland X, Peugeot 108, 208, 2008, 308 “2”)
83 ch (Citroën C3 “3” restylée)
(Citroën C4 “3”, C4 X, DS 3 Crossback, (C3 Aircross, Citroën C4 Cactus, C4 “2” et “3”, C4 X, C4 Picasso “2”, C4 Spacetourer, C5 Aircross, C5 X, DS 3, DS 4, Opel Corsa “6”, Mokka “2”, Crossland X et Grandland X, Peugeot 2008, 308 “2” et “3”, 408, 3008 “1” et “2”, 5008 “1” et “2”, Rifter, Toyota ProAce City)