À quoi ressemblera la dernière semaine de campagne européenne de Marion Maréchal ?
Aux quarante-deux semaines de campagne précédentes ! Je continuerai à porter le projet d’une Europe au service de notre civilisation : qui protège ses frontières, qui nous arme et défend nos entreprises dans la guerre économique, qui soutient ses paysans, la natalité, qui préfère une écologie de l’adaptation, de l’innovation et de l’incitation, qui résiste face à l’islamisation du continent.
Dans cette campagne, LFI semble être la seule force politique qui s’attache activement à rallier les abstentionnistes – en l’occurrence, les banlieues. Comment expliquez-vous cette stratégie ?
Nous faisons le même constat : en France, et trouvent ça formidable. Nous appelons ça le grand remplacement, et nous disons que c’est un drame. Ils voient dans ce remplacement une opportunité électorale, nous y voyons une menace vitale.