Vous avez annoncé la garantie d’un salaire « décent » pour les salariés du groupe dans le monde. N’est-ce pas le retour du paternalisme à la Michelin du début du XX e siècle ?
Chez Michelin, on ne veut pas fabriquer de la valeur sur le dos des gens, mais à leur bénéfice. Nous souhaitons distribuer un salaire « décent » permettant à une famille composée de deux adultes et deux enfants de pouvoir se nourrir, se loger, mais aussi de constituer une épargne de précaution et pouvoir se projeter. Nous