@lauric_henneton
. La saison des primaires pour l’investiture républicaine n’a pas traîné en longueur. À la manière des fulgurances du punk hardcore qui a fleuri à Washington DC au tournant des années 1970-1980, sitôt parti, sitôt fini. Et comme on pouvait s’y attendre, Trump a vite triomphé, mais ce n’est pas pour autant un triomphe à la romaine. Certes, il y a du romain chez Trump, qui se rêve César, a pompé son principal slogan et pourrait finir comme Néron, à jouer du fiddle pendant que DC brûle. Nikki Haley, dernière adversaire à rester en lice face à lui,