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Vous devez prendre la route dans quelques heures, mais n’arrivez pas à dormir. Vous décidez alors d’avaler un somnifère, histoire de pouvoir profiter d’un précieux temps de sommeil avant le départ. Un geste qui peut paraître anodin à certains, mais qui, en réalité, comporte de sérieux risques pour la conduite. Pour preuve, la prise de médicaments serait responsable de 3 à 4% des accidents de la route dans l’Hexagone (1). Pourtant, il n’y a ici rien d’illégal, contrairement au fait de conduire avec un taux d’alcool trop élevé. Alors, comment savoir si le somnifère avalé la veille ne va pas vous emmener droit dans le décor ? Quels doivent être vos réflexes avant de prendre le volant ? Eléments de réponse…
En priorité, s’informer
recommande Dominique Richter, président du Syndicat des médecins du permis de conduire (SMACMAC). “ [voir page de droite] –, ajoute-t-il. Dès lors, si vous décidez de prendre un somnifère à 1h du matin