Souriant en permanence, doux, candide, amateur de magie (si vous le rencontrez à la sortie d’un concert, mettez-le au défi, rien ne lui fera plus plaisir), Florian Noack semble sorti de nulle part : point de grandes écoles ni de concours rutilants, mais des disques, fréquemment remarqués par la rédaction de Diapason – notamment. Avec ce dernier volume, joyeux méli-mélo de transcriptions comme on n’en fait plus, n’est-ce-pas la première fois qu’un Diapason d’or est accordé à un album portant le titre d’une chanson de Disney ?
L’œuvre à laquelle vous faites référence (« ») est un clin d’œil général à la démarche de transcription – l’imitation, la paraphrase – qui sous-tend ce disque. Tout part d’une tradition de Noël, dans