out débute à l’été 2021, quand le lac au bord duquel je passe mes vacances depuis mon enfance s’assèche intégralement, ainsi que la rivière voisine. Ne reste que la terre craquelée, semblable à celle de la vallée de la Mort, aux États-Unis. Une vision apocalyptique que je prends de plein fouet, comme les restrictions d’eau, les nappes phréatiques polluées ou à sec, la raréfaction des orages d’été et des pluies en général, tandis qu’ailleurs en France les flammes consument des hectares de pinèdes et toute la biodiversité indispensable à la vie humaine. Partout, on observe des manifestations de la destruction de la
