Une bonne correction
Dans le droit fil de notre dossier de février sur « les écrivains et l’alcool », cet extrait d’Un singe en hiver, d’Antoine Blondin. Las ! neuf erreurs s’y sont indûment glissées. Les repérerez-vous ?
« Dans un angle, une armoire de campagne couchée sur le flanc, hallucination d’un maquignon qui revient de la foire, avait dû jadis servir de zinc ; sa tranche poussiéreuse supportait encore de faux magnums d’ ou de , autre cauchemard. À l’extrémité, un taillis de porte-manteaux, baptisés perroquets, mélangeait des ramures piteuses. Gabriel