1 Andris Nelsons
Les 2 et 3 mars, Paris, Philharmonie.
Dès son arrivée à l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig en février 2018, Andris Nelsons annonçait qu’ils allaient présenter ensemble une intégrale des symphonies de Tchaïkovski en concert. Six ans plus tard, le chef letton, désormais moitié leipzigeois moitié bostonnais, continue son exploration du plus européen des compositeurs russes. En pleine tournée 100% Tchaïkovski, le maestro et son orchestre allemand se confrontent un soir au destin de la Symphonie no 5 et au lyrisme jubilatoire du Concerto pour violon avec Leonidas Kavakos. Le second programme est consacré à de rares poèmes symphoniques (Le Voïévode et Hamlet) avant le fatum de la « Pathétique ».
2 Klaus Mäkelä
Les 6 et 7 mars, Paris, Philharmonie. Du 2 mars au 16 juin, Paris, Musée du Louvre.
Après d’éblouissants débuts parisiens à la Fondation Louis Vuitton voilà un an, le pianiste coréen Yunchan Lim revient dans la capitale. A la Philharmonie, le phénomène de dix-neuf ans dégaine pour l’occasion le redoutable de Prokofiev, qui côtoie la « » de Chostakovitch – le tout avec l’Orchestre de Paris et Klaus Mäkelä. Le chef inaugure ensuite une série de cinq cartes blanches au Louvre, en retrouvant son violoncelle pour de la musique de chambre auprès de ses ouailles… et des toiles de Charles Le Brun. Au programme de cette première date : Biber et Enesco. D’autres
