uelques heures avant d’être fusillé au Mont-Valérien, comme vingt et un autres résistants de son groupe, le 21 février 1944, Missak Manouchian écrit à sa femme, Mélinée, une lettre d’adieu prophétique. « Je suis sûr que le peuple français et tous les combattants de la liberté sauront honorer notre mémoire dignement. » Quatre-vingts ans plus tard, jour pour
MISSAK MANOUCHIAN LES COULISSES D’UNE PANTHÉONISATION
Feb 15, 2024
2 minutes
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