S’il existait une école du bon gouvernement, la loi pour contrôler l’immigration et améliorer l’intégration y serait enseignée comme contre-exemple absolu.
Il en résulte un approfondissement de la crise démocratique et le risque de trop faibles réponses au défi migratoire. Mon devoir est d’alerter les responsables politiques sur leurs errements. Nombre d’entre eux se sont vautrés dans les politicailleries, le cynisme et désormais le populisme.
La politicaillerie, d’abord. Les différents camps politiques