Dieu sonde les reins et les cœurs, lui seul sait par conséquent ce qu’a pu penser Patrick Buisson en ses derniers instants. Cependant, on peut se demander si, malgré son insatiable gourmandise intellectuelle, ce « sulfureux » intellectuel de droite n’a pas été soulagé de quitter un monde qui lui était de plus en plus étranger.
« À quoi bon ? » : tel est en effet le paradoxe ultime du conservateur. Si son objectif est de