SUZUKI SWIFT : LE PARI CONSERVATEUR
La Swift est refaite de fond en comble. Cela ne saute pas aux aux yeux, sauf à prendre le temps de la détailler.
Le changement dans la continuité… L’expression est encore plus usée qu’un vieux pneu, mais dans le cas présent, elle retient sa part de vérité. Les dimensions ne mentent pas. Le nouvelle Swift occupe la même place au sol que sa devancière, et son empattement ne bouge pas d’un millimètre (respectivement 3,86 m en longueur et 2,45 m). Ces premières images officielles montrent en parallèle que cette citadine de la plus pure espèce subit un sévère remaquillage : le capot surplombe désormais les optiques, amincies. C’est plus qu’un restylage de circonstance, même si les designers n’ont tout de même pas cassé des codes esthétiques initiés sur la première génération en 2004.
Moins de conservatisme à bord, où le mobilier est entièrement recomposé, mis en valeur par un imposant écran central flottant (encastré auparavant). Compteurs à aiguilles “comme dans le temps”, à en juger par la photo fournie par le constructeur. Point d’instrumentation numérique au menu, faut-il en déduire ?
3 cylindres à la rescousse
Ladite photo laisse à voir un levier de vitesses chargé de commander une boîte mécanique à 5 rapports, dont acte. Mais Suzuki n’indique pas à cette heure quel type de transmission exploite le bloc essence micro-hybridé réquisitionné.
Il y a fort