PEUGEOT E-RIFTER : DOGMES ARRÊTÉS
Le ludospace E-Rifter passe par la case restylage, et cela se voit. Sur le fond, le dogme du tout-électrique exclusif n’est pas remis en cause.
Premier point, ce qui vaut pour le Rifter vaut pour le Citroën Berlingo, le Fiat Doblò et l’Opel Combo. Les quatre duplicatas d’un seul et même ludospace, convient-il de rappeler, sont restylés de manière très visible selon les codes esthétiques propres à chaque label. Pour ne prendre que l’exemple du Rifter, la différence entre l’ancien et le nouveau est spectaculaire. Et le résultat est loin d’être laid, une valeur ajoutée manifeste s’agissant d’un genre automobile pour lequel on tombe rarement sous le charme au premier coup d’œil. Deuxième point, Stellantis ne revient pas sur sa décision de réduire l’offre moteurs des quatre frangins à la seule unité tout électrique. Point de diesels ni de blocs essence, en clair. Pour le moment, en tout cas. La rumeur, il y a peu de temps encore, faisait état d’une possible adoption du 3 cylindres 1.2 PureTech micro-hybridé à base de batterie 48 volts (100 ou 136 ch). Cette greffe serait plus raccord avec le profil “voyageur au long cours” de ce type d’engin.
Les 136 ch reprennent du service
En tout état de cause, les quadruplés se voient refuser l’attelage électrique de 156 ch très en vogue dans le groupe Stellantis