Après la guerre, Maxim’s redevient le lieu de tous les possibles, de toutes les folies
Lorsqu’il ouvre, en 1893, le restaurant a tout d’un bouge. Jusqu’à ce qu’Irma de Montigny en fasse la table de prédilection des mondaines et des courtisanes
« Paris sera foutu seulement le jour où Maxim’s disparaîtra », aurait affirmé Cocteau. Alors si la capitale n’a pas sombré durant sa fermeture, elle renoue avec une part de son histoire depuis