Dans, Georg C. Lichtenberg note, en philosophe, qu’. La table, voilà l’exception ! Si elle est un si grand plaisir, c’est qu’elle offre ce rapport symphonique aux sens. Tous sont conviés. Que serait un dîner sans le joyeux cliquetis des couverts, sans cette délicieuse façon qu’ont les mets de s’annoncer par d’irrésistibles fumets ? Quant aux couleurs, elles savent nous allécher.du chef étoilé Bruno Verjus, il montre que le vert est l’énergie première. Ballet des couleurs, valse des saveurs, invisible drapé des senteurs, architecture des textures – la table est une fête. Recevoir, c’est nourrir le corps et l’âme. C’est proposer un ballet des sens, du récréatif au festif.
