Main tendue, doigt levé, il attend patiemment son tour pour poser sa question : « Avez-vous été animées par un sentiment de vengeance ? » « Non », ni l’une ni l’autre n’en a ressenti. De la colère, en revanche, « oui », « c’est légitime répond Stéphanie Zarev. Mais pour continuer à avancer, il faut aussi ne pas lui laisser prendre toute la place ; la sienne Gaëlle Messager choisit, elle, de parler de pour faire comprendre aux élèves la façon dont elle a intégré l’attaque terroriste qui a percuté sa vie, lui a pris son et volé une partie de son visage. C’est un peu plus compliqué pour son fils, 15 ans aujourd’hui, qui en avait 7 en novembre 2015 :
Les victimes du 13-Novembre devant les lycéens
Nov 08, 2023
4 minutes
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits