ANS UNE CERTAINE MESURE, l’affaire semblait pliée. Pour de bon et pour tout le monde, y compris le principal intéressé qui en avait guidé le destin depuis le mitan des années 1980: The Silencers faisaient partie de l’histoire ancienne, à part quelques concerts de temps à autre – à commencer par un rendez-vous annuel du côté de la native Glasgow – qui viendraient en entretenir le souvenir et la nostalgie. Jimme O’Neill l’admet sans faux détours, il s’était fait à cette idée: une madeleine en 2004. se remémore celui qui devait élire domicile en France à peu près “” de l’album en question. [The Honkytonk Hicks, Celtic Social Club plus tard, ndla]
