Wim Wenders ou le mouvement perpétuel. Entre cinéma, documentaire, photos, spectacles, essayer de cerner l’électron libre virtuose tient de la gageure. « J’ai trop de choses à dire, trop d’envies. Et sûrement cette soif de liberté qui me fait sans cesse picorer. »
Il cache bien ses 78 printemps derrière une longue veste et un pantalon baggy, ponctue