a (1916) amorce le retour de Fauré, désormais septuagénaire, à la musique de chambre. « Jamais il n’a eu des idées plus vives, plus souples, plus jaillissantes, plus de fraîcheur ni de jeunesse », écrit Pierre Lalo en rendant compte de la création. Dans l’ premier, d’abord sombre et agité, l’archet élance, rapporte la violoniste Hélène Jourdan-Morhange (qui le travailla avec Fauré), elle doit être comme un « remous intérieur qui laisse la surface plane et lisse ». Eloquence volubile, intensité : maîtres mots de la référence posée en 1953 par Zino Francescatti et Robert Casadesus.
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Sep 28, 2023
2 minutes
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