Envoyé spécial
Gers
Les flammes ont tout dévoré et il ne reste plus, un mois après la catastrophe du 24 août, qu’une armature métallique rougie par le feu et la carcasse d’un camion. Ce jour-là, peu après 13 heures, le fils de Guy Cahuzac est allé prévenir son père qu’il entendait des crépitements venant du hangar de 4 000 mètres carrés où l’agriculteur, basé à Samatan (Gers), entreposait sa production. Il n’a rien pu faire d’autre qu’appeler les pompiers. En quelques heures, 9 000 bottes de paille se sont embrasées et le hangar recouvert de panneaux photovoltaïques a disparu.
, souffle l’exploitant agricole en triturant ses mains colossalesSe battre ou