100 000 euros. C’est le montant consacré par la Commission européenne à un projet de lutte contre sur les réseaux sociaux. Or la revue de presse identitaire FdeSouche.com a levé un lièvre : parmi les associations missionnées se trouve Al Fanar, qui reçoit à elle seule plus de 28 000 euros. Somme qui s’ajoute aux subventions européennes préalablement reçues, 220 000. Mais dans les faits, on retrouve au moins une collusion avec cette mouvance. Al Fanar avait exprimé son soutien au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) en 2020, alors que Gérald Darmanin annonçait sa dissolution après l’assassinat de Samuel Paty. Un an plus tard, Al Fanar s’en prenait à la France, l’accusant de mener une. Que pointait l’association ? Les critiques de Marlène Schiappa contre le Forum des organisations européennes musulmanes de jeunes et d’étudiants (FEMYSO) – soutenu et financé par l’Union européenne lui aussi – qui venait d’organiser la campagne de publicité. FEMYSO, qui abrite un groupe d’associations liées aux Frères musulmans, dont l’association turque Millî Görüs... Le gouvernement français avait alerté les autorités européennes. En juin 2022, le commissaire européen à la Justice lui avait répondu : Le Forum était d’ailleurs invité au parlement européen, le 21 septembre dernier, pour sa. L’occasion pour lui de cibler à nouveau la France, en appelant à défendre le droit des musulmanes de porter l’abaya à l’école. Les initiatives fleurissent. Comme le lancement par la commission d’un projet Erasmus+ destiné à par exemple. Dans son ouvrage , la chercheuse du CNRS Florence Bergeaud-Blackler avait prévenu : Mêmes instances, nouvelle histoire. Jeudi dernier, deux députés européens ont organisé l’évènement, en présence d’un rapporteur spécial des Nations unies et d’anciens prisonniers. Parmi les intervenants, l’ex-recruteur d’Al Qaïda et fondateur de l’ONG islamiste CAGE, notamment engagée contre. L’association avait d’ailleurs été visée par le Comité français interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation. Un autre homme était présent, lui aussi ancien de Guantanamo : Moussa Zemmouri. Ancien, mais pas vraiment guéri, du moins en 2015 : à l’époque, il avait été à nouveau condamné en Belgique pour avoir aidé un Algérien à financer une filière djihadiste.
Union européenne et islamisme
Oct 01, 2023
2 minutes
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