uand on quitte Marrakech, on a tout de suite l’impression de retourner dans le passé. On a ce sentiment que la distance qui sépare la ville de son hinterland n’est pas de quelques kilomètres, mais de plusieurs décennies… », raconte Karim Boukhari, journaliste au site d’information le360 « J’ai parcouru Al Haouz [à l’épicentre de la zone sinistrée] il y a quelques mois. Je me suis rendu dans un village où les habitants avaient un problème d’eau potable. Le village était pourtant niché face à un magnifique barrage… Tout le paradoxe du Maroc est là. » Dans
Mohammed VI face aux failles de son pays modèle
Sep 14, 2023
3 minutes
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