, explique Omar*, cafetier à proximité du boulevard Macdonald et de l’avenue de la Porte-de-la-Villette. La semaine du 15 août à Paris, traditionnellement la plus dépeuplée de la capitale, lui donne raison : les seuls à errer sous le soleil de plomb sont les « crackeux ». concède Omar, dont le commerce a du mal à se remettre de l’épisode Forceval. En effet, si la crise du crack dans le nord francilien semble avoir été prise à bras le corps l’été dernier, les toxicomanes qui hantaient le « triangle d’or » sont loin d’avoir disparu. On les retrouve sur le boulevard Ney, à proximité de la ligne de tramway où certains interpellent sans
Un an après le plan crack, des riverains en sursis
Aug 27, 2023
4 minutes
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