À 26 ans, ce Péruvien est la nouvelle star de la tauromachie. Il nous reçoit chez lui en Andalousie avant d’attaquer la saison
Sans limites, victime de terribles « cornadas », il totalise déjà sept blessures graves
Le port d’un danseur étoile et le punch d’un boxeur. Sur le sable, le jeune maestro qui cite Mohamed Ali parmi ses modèles est prêt à prendre tous les risques, quitte à susciter l’inquiétude de son entourage. Avec sa combativité, son engagement total et sa silhouette élancée, Andres Roca Rey est devenu l’un des rares toreros péruviens à s’imposer en Europe. Il attire même une nouvelle génération d’aficionados dans les gradins en dépoussiérant la corrida. À l’heure des réseaux sociaux, le matador a conquis l’une des arènes suprêmes : Instagram, où il partage ses victoires comme son quotidien… avec plus de 250 000 abonnés.
Richesse et célébrité, il veut tout à la fois, comme dans « RocknRolla », un film qui l’inspire
De notre envoyée spéciale à Séville Audrey Levy
Sous le soleil brûlant d’Andalousie, il est 19 heures, mais le thermomètre affiche encore 36 degrés. Pas de quoi le détourner de l’entraînement auquel il