Entre la sueur, le sang et les larmes, les dimanches d’Andrés Roca Rey ne ressemblent à aucun autre. Ils commencent par l’arrivée, tard la nuit précédente, au cœur d’une ville en fête, comme à Nîmes pour la feria de Pentecôte ou à Istres la semaine prochaine. Mais la musique enivrante des bodegas n’est pas pour lui. Autour de 17 heures, il se retrouve les pieds dans le sable d’une arène bondée, qu’il signera discrètement d’une croix du bout de sa ballerine. Si tout se passe
Andrés Roca Rey « De la chance et des sacrifices »
Jun 11, 2023
3 minutes
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