Rappel des faits
Depuis 2017, dans l’Atlantique, des centaines de navigateurs ont rapporté des “attaques” d’orques. Des prédateurs qui, normalement, ne s’intéressent ni aux humains, ni aux bateaux.
Les faits se produisent principalement entre les côtes marocaines et la pointe bretonne, au large. Un groupe d’une dizaine d’orques) de la petite population de l’Atlantique – une cinquantaine évoluant depuis le détroit de Gibraltar –prendrait un malin plaisir à bousculer des bateaux, parfois jusqu’à les couler. Depuis 2020, plus de 500 collisions et 3 naufrages ont ainsi été répertoriés par le Groupe de travail sur l’orque de l’Atlantique (GTOA). Et les spécialistes en ignorent toujours la raison.