L’OFFICIEL HOMMES: Comment est né ce projet?
GUILLAUME CANET: Pour une fois, c’est mon producteur de toujours, Alain Attal, qui m’a appelé, alors qu’en général c’est moi qui l’appelle! Lui aussi avait été approché avec cette idée de faire un Astérix. Il avait un traitement de 20 pages, qu’il m’a fait passer. Immédiatement, dès que je ne connais pas quelque chose, que je sens que je vais me mettre en danger, j’ai envie d’y aller. C’est là qu’on apprend le plus. J’aimais cette promesse de voyage, d’aventures, de pouvoir faire un film épique, populaire, avec de grandes batailles, comme l’on n’en voit plus tellement en France. Me replonger dans Astérix me plaisait aussi, je le lisais enfant, et maintenant je lis les albums à mes enfants. Réaliser un film qu’ils puissent voir me tentait aussi.
L’OH: Vous avez