Dans une actualité rythmée par la contestation autour de la réforme des retraites, elle poursuit son chemin et continue ses combats. Mercredi 14 juin, Brigitte Macron a passé la journée au Parlement européen à Strasbourg. Une soixantaine de personnes, casseroles en main, lui ont organisé un maigre comité d’accueil. C’est devenu une tradition, mais pas de quoi perturber son programme.
Six mois maintenant que la société française se crispe autour de l’impopulaire réforme, imposée par un recours à l’article 49-3. La violence va crescendo et la ligne rouge, l’insupportable, a été franchie mi-mai avec l’agression à Amiens de son petit-neveu, Jean-Baptiste Trogneux. C’était l’une des angoisses les plus vives de la première dame. Qu’on s’en prenne à ses proches