Le « no-low » s’inscrit dans un mode de vie plus sain
« Ce n’est pas une tendance, c’est une révolution ! » s’exclame Matthias Giroud quand on lui parle des cocktails et des spiritueux sans alcool. Ce quadra élégant, qui est à la mixologie ce que Pierre Hermé est à la pâtisserie, n’en démord pas : on est à l’aube d’un raz de marée planétaire du « no-low » (no alcohol, low alcohol), une lame de fond qui va transformer la consommation de gin, whisky, rhum, mojitos