Une histoire
Martin Rappeneau nous avait quittés en 2009 avec, se consacrant quatorze ans (1982) de son cinéaste de père. Dès le titre d’ouverture de ce quatrième album, le parfum du Berger se fait sentir :, coécrit avec la chanteuse Rose, nous renvoie à l’efficience pop de son (2006) avec sa pompe au piano contrebalancée par un timbre aérien à la Polnareff. Amanda Sthers lui offre la chanson-titre, . Et là aussi, comme dans, s’insinue dans les plis du romantisme une subtile ironie aigre-douce qui exige qu’on s’y attarde pour en saisir l’entière saveur.