n 1963, elle s’est installée à Paris par amour pour Costa-Gavras, alors jeune assistant réalisateur qui lui avait fait tourner la tête. L’idylle finie, elle n’en est plus jamais partie. Soixante ans plus tard, Tanya Lopert a conservé de son passé new-yorkais un charmant accent – qu’elle avoue avoir essayé de gommer, en vain – et un humour typiquement anglo-saxon. Ne faut-il pas avoir un sacré sens de
