Ce que j’aime, à Naples, c’est l’effroi rétrospectif de ne l’avoir jamais connue. Je ne t’ai jamais vu comme ça, me dit Dora qui ne m’a connu, à Mexico, qu’en état de nostalgie (la douleur du retour).
Ce que j’aime, à Naples, c’est de n’avoir peur de rien, et à chaque coin de rue, m’esbaudir: Sous le souffle de l’Antique, palais et taudis se frottent,