« Où est mon bon ami @real-DonaldTrump ? » Quand Viktor Orbán fit en octobre ses premiers pas sur Twitter, ce message fut l’un des premiers qu’il publia. Le Premier ministre hongrois ne mit pas longtemps à retrouver son « bon ami ». Aujourd’hui, le nouveau compte de l’ancien président américain fait partie des seuls 63 abonnements du père de la démocratie illibérale en Europe.
Au-delà de cette idylle sur les réseaux sociaux, lentement, depuis des mois, voire des années, souligne Soufian Alsabbagh, auteur de (éd. Demopolis) et professeur au Baruch College de New York.