Plus de vidange ni de filtres, plus de coûteuse courroie de distribution à remplacer périodiquement, plus d’injecteurs ou de bougies à contrôler. Plus d’embrayage, ni même de boîte de vitesses *… La voiture électrique semble réunir toutes les qualités pour permettre de grosses économies sur le budget maintenance. Seulement, sous des dehors “simplissimes” se niche une technologie particulière, source de risques graves pour les usagers, rarement évoqués par les constructeurs ou les politiques qui veulent l’imposer. Car, en caricaturant un peu, un véhicule électrique (VE) n’est rien d’autre qu’un transformateur électrique entouré d’une carrosserie! Le corollaire est un réel danger d’électrocution, ce qui impose, pour toute intervention proche du système électrique, des normes extrêmement strictes et coûteuses.
Une maintenance réduite mais contraignante
Sur les véhicules électriques, tant qu’on intervient “loin” des câbles électriques haute. Une telle procédure, fastidieuse, peut nécessiter une heure de main-d’œuvre pour un “chargé de consignation” hautement qualifié. Cette intervention totalement improductive étant, bien sûr, à ajouter au temps réel de travail sur l’auto, elle fait automatiquement grimper la note.
