Un étourdissant de Tchaïkovski avec Szell ( de nos ) nous replongeait déjà dans l’ambiance électrique qui régnait en 1953 au Carnegie Hall lorsque Vladimir Horowitz y célébrait les vingt-cinq ans de ses débuts américains. Bien plus qu’une salle de concert, le temple new-yorkais était pour le pianiste un autre chez(et donc a fortiori au Carnegie Hall), où le choc sonore provoqué par ce toucher d’airain capable de mille moirures se recevait en plein cœur, et où surtout la raréfaction progressive du pianiste ne faisait que donner plus de poids à chacune de ses apparitions.
Votre Indispensable
Mar 23, 2023
2 minutes
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