Elles ne se quittent plus. Entre leur nomination pour le césar du meilleur espoir féminin et les avant-premières de Mon crime, le nouveau film de François Ozon, qu’elles illuminent de leur jeunesse complice, Rebecca Marder et Nadia Tereszkiewicz sont devenues inséparables. La brune de 27 ans et la blonde de 26 ans n’ont pas que leur agent en commun. Elles incarnent avec fraîcheur l’avenir d’un cinéma français grand public mais exigeant. Aux Césars, vendredi dernier, Jamel Debbouze a écorché le nom de Nadia Tereszkiewicz, célébrée pour son rôle d’apprentie comédienne dans Les Amandiers, de Valeria Bruni Tedeschi. L’actrice franco-finlandaise a l’habitude. Bientôt, on ne butera plus. En mai, elle pourrait être au Festival de Cannes avec L’Île rouge, de Robin Campillo (120 Battements par minute). Rebecca Marder, la solaire Simone Veil jeune deSimone, le voyage du siècle, sera, elle, bientôt (le 22 mars) à l’affiche d’un thriller politique, De grandes espérances, de Sylvain Desclous, aux côtés de son compagnon, Benjamin Lavernhe. L’ancienne pensionnaire de la Comédie-Française fera ensuite son retour sur scène au Théâtre du Rond-Point dans Tango y tango, une pièce de Santiago Amigorena orchestrée par Marcial Di Fonzo Bo.
On parle de vous comme des futures stars du cinéma français, vous faites la couverture de magazines. Comment vivez-vous cette